commission de la culture |
Projet de loi Refondation de l'école de la République (1ère lecture) (n° 441 ) |
N° COM-228 10 mai 2013 |
AMENDEMENTprésenté par |
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Mme DUCHÊNE ARTICLE 46 |
Rédiger ainsi l'alinéa 3 :
Il est vivement recommandé aux collectivités territoriales ou aux associations qui participent au projet éducatif territorial en étroite collaboration avec le service public de
l’éducation de veiller à ce que les activités périscolaires complémentaires prolongeant ce même service public de l’éducation soient organisées sans toutefois se substituer aux activités d’enseignement et de formation fixées par l’Etat.
Il est également souhaitable qu’un égal accès à ces activités à caractère facultatif, qu’elles soient culturelles, sportives ou de formation aux nouvelles technologies de
l’information et de la communication puisse être garanti à tous les élèves sans que les ressources des familles ne constituent un facteur discriminant.
Objet
Les activités périscolaires ne peuvent dépendre financièrement que des collectivités locales. Elles concourent au développement artistique, sportif, et éducatif de l’élève.
Un partenariat étroit et sans rivalité doit donc exister entre les communes ou communautés d’agglomération. Pourquoi donc, écrire « que les établissements scolaires veillent, dans l’organisation des activités périscolaires à caractère facultatif, à ce que les ressources des familles ne constituent pas un facteur discriminant entre les élèves »… Si c’est
facultatif, cela ne regarde pas l’école…Il convient donc de ménager les collectivités.