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Dépôt au Sénat
- Texte n° 172 (2010-2011) de M. Bruno RETAILLEAU et plusieurs de ses collègues, déposé au Sénat le 14 décembre 2010
- Texte n° 173 (2010-2011) de M. Alain ANZIANI et plusieurs de ses collègues, déposé au Sénat le 14 décembre 2010
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Première lecture au Sénat
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Travaux de commission
Commission des affaires économiques, saisie au fond
- Amendements déposés en vue de l'élaboration du texte de la commission
- Comptes rendus des réunions
- Rapport n° 454 (2010-2011) de M. Bruno RETAILLEAU, déposé le 26 avril 2011
- Texte de la commission n° 455 (2010-2011) déposé le 26 avril 2011
Commission des lois, saisie pour avis
Demande de saisine et nomination d'un rapporteur pour avis (16 février 2011)
- Avis n° 423 (2010-2011) de M. Dominique de LEGGE, déposé le 12 avril 2011
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Séance publique
- Amendements déposés sur le texte de la commission n° 455 (2010-2011)
- Compte rendu intégral des débats en séance publique (3 mai 2011)
- Résumé des débats en séance publique
- Texte n° 103 (2010-2011) adopté par le Sénat le 3 mai 2011
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Première lecture à l'Assemblée nationale
Dossier législatif sur le site de l'Assemblée nationale
- Texte n° 3384 transmis à l'Assemblée nationale le 4 mai 2011
- Texte n° 52 transmis à l'Assemblée nationale le 2 juillet 2012
- Texte n° 45 transmis à l'Assemblée nationale le 6 juillet 2017
- Texte n° 44 transmis à l'Assemblée nationale le 8 juillet 2022
- Texte n° 19 transmis à l'Assemblée nationale le 23 juillet 2024
Pour compléter votre information :
(Mise à jour 3 mai 2011)
Un peu plus d’un an après son passage, le sinistre bilan causé par cette tempête est encore bien présent dans les esprits : une cinquantaine de morts, 79 blessés, un demi-million de personnes affectées à des degrés divers, 2,4 milliards d’euros de dégâts.
En juillet 2010, la mission d’information sénatoriale sur Xynthia a adopté ses conclusions à l’unanimité. Celles-ci reposaient sur un constat sans appel : si la tempête Xynthia était inévitable, le drame qu’elle a provoqué aurait pu, lui, être évité. La mission a pointé une responsabilité largement collective :
- la France est mal préparée aux risques de submersion marine ;
- la culture du risque est dans notre pays quasi-inexistante.
C'est afin de mettre en œuvre les préconisations de la mission que son président, M. Bruno Retailleau, et son rapporteur, M. Alain Anziani, ont déposé deux propositions de loi identiques. Ces textes adaptent la législation française aux spécificités de la submersion marine, dont l’originalité impose un traitement particulier, tout en prévoyant des mesures concrètes qui permettront de faire émerger dans notre pays une véritable culture du risque.
Réunie le mardi 26 avril, la commission de l’économie, du développement durable et de l'aménagement du territoire du Sénat a examiné les deux propositions de loi et adopté, notamment à l’initiative de son rapporteur M. Bruno Retailleau, une quarantaine d’amendements. C'est le texte ainsi rédigé et adopté à l'unanimité par la commission de l'économie (le groupe communiste réservant sa position pour la séance publique) que le Sénat examinera le 3 mai prochain. Il s’articule autour de quatre axes :
1. Mieux prendre en compte les risques d’inondation spécifiques au littoral
2. Affirmer clairement la suprématie de la prévention des risques sur le droit de l’urbanisme
3. Diffuser la culture du risque en sensibilisant les populations
4. Améliorer l’efficacité de la gestion des ouvrages de protection
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