EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs,

Le tribunal administratif de Marseille vient d'annuler l'arrêté municipal interdisant le burkini, pris par la mairie de Carry-le-Rouet en juin 2024, et de condamner la commune à payer 1 500 €. Pour le juge, l'arrêté en question n'était pas proportionné à un trouble à l'ordre public conséquent. Déjà, le 17 juillet 2023, le Conseil d'État avait annulé un arrêté identique de la ville de Mandelieu-la-Napoule.

Le burkini est pourtant un uniforme de conquête islamique et un vêtement de soumission de la femme, promu par des communautaristes qui tentent d'affaiblir notre culture et d'attaquer les principes de nos lois.

En assumant cette dimension séparatiste, les auteurs de ces attaques tentent de fracturer notre cohésion nationale et de concurrencer l'autorité de l'État. Le port du burkini constitue donc une menace pour l'ordre public, la paix civile et l'identité nationale.

C'est pourquoi il est du devoir du législateur de protéger les maires prenant des arrêtés anti-burkini et de limiter les dérives des élus complaisants en inscrivant dans la loi l'interdiction du port de vêtements de type burkini sur nos plages ainsi que dans les piscines publiques.

La France doit faire respecter ses moeurs et garantir la sécurité physique et culturelle à tous les Français.

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