Le résumé

Fin janvier 2024, la presse révélait ce qu'il est désormais convenu d'appeler le « scandale des eaux minérales ». Au terme de six mois d'enquête, la commission sénatoriale met au jour les multiples dysfonctionnements des services de l'État en matière de contrôle de la production d'eaux en bouteille et les responsabilités jusqu'au plus haut niveau de l'État. Elle dévoile aussi les pratiques de certains industriels et, en particulier, les pressions exercées par Nestlé Waters sur les ministères et les services déconcentrés de l'État. Elle avance une série de propositions concrètes pour préserver l'avenir des eaux minérales et de source en France. Cet avenir passe par une meilleure protection de la ressource, la rénovation d'un dispositif de contrôle trop complexe, la restructuration de la réglementation, l'élargissement du contrôle des composants de l'eau face aux pollutions émergentes comme les PFAS ou les microplastiques, ainsi qu'une meilleure information du consommateur.

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