ANNEXE III :
COMPTE RENDU DU DÉPLACEMENT
DE M. ANDRÉ FERRAND EN CHINE
DU 29 MAI AU 6 JUIN
2012
Le déplacement s'est déroulé en trois étapes. Tout d'abord à Hong-Kong, du 29 au 31 mai, puis à Shanghai les 1er et 2 juin, et enfin à Pékin les 4 et 5 juin, pour évaluer le dispositif français d'appui aux exportations agroalimentaires.
Cette visite a permis de rencontrer les acteurs institutionnels (Sopexa, Ubifrance, CCEF, Régions) et privés (CCIFC, Altios...) appuyant la présence française, réunis dans « l'équipe de France de l'export », ainsi que des entreprises du secteur agroalimentaire bénéficiaires de ces services 41 ( * ) .
Mardi 29 mai 2012 (Hong Kong)
17h00 |
Arrivée à l'aéroport de Hong
Kong
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19h30-21h30 |
Dîner de la Commanderie de Bordeaux |
Mercredi 30 (Hong Kong)
11h00-12h00 |
Entretien avec M. Arnaud BARTHELEMY
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12h30-14h15 |
Déjeuner avec les conseiller du commerce extérieur de la France (CCEF) |
14h30-15h30 |
Visite du salon Vinexpo et entretien avec M. Jean-Charles CROUIN, Directeur de la zone Asie pour Sopexa |
15h45-17h00 |
Réunion plénière de l'équipe française de l'export en présence de Mme Isabelle Fernandez, Directrice Ubifrance Chine |
18h30-19h00 |
Lancement du grand prix VIE (Matthieu LEFORT, Ubifrance) |
19h30 |
Réception « Dégustation Côtes de Bordeaux » organisée par Ubifrance -CCIB/CIVB Clôture du GourMay |
20h00 |
Dîner de gala « Grands crus de Bourgogne » organisé par Sopexa |
vendredi 1 er juin 2012 (Shanghaï)
12h30 |
Déjeuner à l'invitation de M. Emmanuel LENAIN, Consul général de France à Shanghaï |
14h30 |
Acteurs économiques de l'export (RV individuels) : - Sopexa ;- Altios |
16h30 |
Réunion plénière de
l'équipe française de l'export
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19h30 |
Dîner avec M. François BLANC , chef du service économique |
Samedi 2 juin 2012 (Shanghaï)
11h00 |
Rhône-Alpes international
(ERAI)
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12h30 |
Déjeuner avec des acteurs français à l'export des produits agroalimentaires :
- Castel & Pernod-Ricard
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14h30 |
Visite du Carrefour Gubei |
Lundi 4 juin 2012 (Pékin)
9h00-9h45 |
Rendez-vous au SER/Ambassade de France - M. Bruno BEZARD, chef de service, Mme Carole LY, conseillère agricole, M. Thomas PAVIE, adjoint de la conseillère |
10h00 |
Rencontre avec l'équipe de SOPEXA dans ses locaux - Mme Catherine ETCHART, directrice et son équipe |
12h15 |
Déjeuner à l'ambassade, avec Mme Sylvie-Agnès BERMANN, Ambassadrice , Daniel BLAIZE, consul, Laurent LEGODEC, de la Chancellerie, Anthony CHAUMUZEAU, conseiller culturel / SCAC, Bruno BEZARD, Ministre-conseiller pour les affaires économiques et financières / SER et Carole LY, conseillère agricole du SER |
14h30-16h00 |
Rencontre avec l'équipe d'Ubifrance , présidée par Vincent PERRIN, directeur |
16h30 |
Rencontre avec la CCIFC (Manuel DELEERS, Carine DELBECQUE, Guillaume BONADEI) et le groupe Limagrain (Marion LESPINE), qui anime le groupe de travail « agro » de la CCIFC |
19h00 |
Dîner, sur invitation d'UbiFrance avec un parterre d'entreprises françaises représentatives de l'amont agricole en Chine (Présents CEVA, LESAFFRE, France Export Céréales, COOPERL, ROUGIE, LIMAGRAIN, COOPERL), SER (Carole Ly, Thomas Pavie) et Ubifrance (Vincent Perrin) |
Mardi 5 juin 2012 (Pékin)
14h30 - 16h00 |
Visite du salon Top Wine en présence de Mme l'Ambassadeur et de Vincent Perrin (Ubifrance) : une cinquantaine de représentants d'entreprises françaises présents |
17h00 - 19h00 |
Réunion à l'ambassade pour une réunion de synthèse de « l'équipe de France de l'export » Invités : Ubifrance, SOPEXA, CCIFC, CCEF, CCIP, AFII, Atout-France, représentants d'organismes d'accompagnement privés (ERAI, Altios) ou de coopérations décentralisées (Pays de Loire, Alsace, Bretagne, Le Havre, Auvergne) |
I. LE POTENTIEL À L'EXPORT AGROALIMENTAIRE DU MARCHÉ CHINOIS
A. LES PRINCIPALES DONNÉES
La Chine (hors Hong-Kong) compte pour 2,6 % seulement de nos exportations agroalimentaires (y compris échanges intra-européens). Elles ont cependant fortement progressé ces dernières années (+ 136 % entre 2009 et 2011, par exemple) et représentent le 2ème ou le 3ème poste d'exportation français en Chine, suivant les années. Les vins et spiritueux comptent, en 2011, pour 60 % de ces exportations. Mais hors vins et spiritueux, la balance agroalimentaire devient légèrement négative de 88 millions d'euros (soit 6 % du total : 1 345 millions d'euros - source : douanes françaises).
La structure des exportations agroalimentaires françaises vers la Chine peut se diviser en trois segments, en fonction des conditions d'accès, de la structure des marchés et des caractéristiques des acheteurs :
- les vins et spiritueux (880 millions d'euros) ;
- les matières premières destinées à la transformation en Chine (viandes et abats de porc et volaille, poudres de lait, bois brut, orge, cuirs, plants végétaux et génétique animale) (pour 430 millions d'euros) ;
- et les produits transformés, encore souvent au stade de niches (épicerie, biscuits, confiserie, autres boissons,...) (143 millions d'euros).
Chine : contexte agricole et relations internationales
Chine |
France |
Chine / France |
|
Superficie 2008 (km² ou 100.ha) |
9 598 088 |
551 500 |
CN = 17 FR |
Population 2008 (millions d'habitants) |
1 338 (+0,5%) |
62,3 (+0,5%) |
CN = 21,5 FR |
Indice de développement humain (IDH) 2007 |
0,772 (92 ème rang mondial) |
0,961 (8 ème rang mondial) |
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PIB 2010 (milliard d'euros) |
4 101 (2 ème rang mondial) |
1 952 (5 ème rang mondial) |
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Taux de croissance du PIB 10/09 (% annuel) |
+ 10,3 |
+0,4 |
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PIB/habitant 2010 (euros/habitant) |
3 065 |
31 347 |
CN = 1/10 FR |
Valeur ajoutée de l'agriculture 2010 (% du PIB) |
10.2 |
2,0 (à réactualiser 2010) |
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Surface agricole 2008 (millions d'hectares) |
552,8 |
29,4 |
CN = 19 FR |
Surface arable 2010 (millions d'hectares) |
160,6 |
18,4 |
CN = 7,6 FR |
Balance commerciale 2011 (millions d'euros) |
+155 000 |
-43 894 (à réactualiser 2011) |
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Balance commerciale agroalimentaire 2011 (millions d'euros) |
Exportations : 60 000 Importations : 94 000 Solde : - 34 000 |
Exportations : 48 800 Importations : 40 600 Solde : +8 200 |
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Exportations agricoles vers l'autre pays 2011 (millions d'€) et solde |
653 M€ (2011 : +8%) Dont : 1. Produits de la mer (205 M€ ; +20%), 2. conserves de fruits et légumes (122 M€ ; + 4%) |
1 452 M€ (2011 : +51,4 %) Dont : 3. vins et spiritueux = 879 M€ 4. viande porc = 123 M€ 5. produits laitiers (yc fromages et glaces) = 100 M€ 6. aliments infantiles et diététiques = 77 M€ 7. céréales (dont orge de brasserie) = 46 M€ 8. bois brut = 44 M€ |
Solde positif global :+ 735 M€ Solde négatif en dehors des vins et spiritueux = -88 M€ |
Sources : Banque mondiale, PNUD, Douanes françaises, Ubifrance
Les interlocuteurs économiques rencontrés ont témoigné des indéniables opportunités de marché qui existent en Chine du fait de l'augmentation de la demande alimentaire, tant en quantité qu'en qualité. Pour les produits transformés, l'image « France » est un atout qui peut (et doit) être valorisé sous réserve qu'il soit possible d'importer au regard des règles sanitaires chinoises. Par ailleurs, la France dispose d'un savoir-faire et de technologies dans les domaines de la production agricole, de l'élevage ou encore de la transformation agroalimentaire que les autorités et les entreprises chinoises cherchent à acquérir pour restructurer et moderniser le secteur agroalimentaire (objectif qui figure dans le 12ème plan 2011-2015). Ces opportunités portent donc tant sur l'exportation que sur l'installation des entreprises en Chine (ces investissements permettant le plus souvent de tirer la croissance des exportations), alors que de grands groupes agroalimentaires chinois émergent.
B. UN MARCHÉ MÉCONNU DES FILIÈRES FRANÇAISES
Selon ces mêmes interlocuteurs, la réalité du marché chinois est cependant méconnue des filières françaises : celles-ci (à l'instar de nombre d'entreprises françaises) oscillent entre une vision d'eldorado ou de repoussoir, du fait de la difficulté du marché (barrières linguistiques, culturelles, administratives,...). L'accès au marché chinois de ces produits se heurte en effet à diverses contraintes.
Les unes relèvent des acteurs français, fort nombreux du fait de la structure de notre secteur agroalimentaire (90 % de PME). Les exportateurs gagneraient à être fédérés (exemple des filières viande, mais aussi du secteur viti-vinicole), mieux préparés (par exemple, en matière de documents à fournir), plus présents en Chine et plus constants dans la durée. Il existe trop peu (à part l'exemple réussi de la filière céréalière et des débuts de réflexion de la part de l'ANIA, du CIVB, de la filière cheval ou de l'INAPORC) de réflexion stratégique des filières agroalimentaires et de leurs interprofessions vis-à-vis de l'export vers le marché chinois.
Les autres sont créées par les autorités chinoises :
- barrières de jure, avec des normes sanitaires parfois non-conformes aux engagements OMC (OIE, CIPV, Codex), peu transparentes (les notifications se font en chinois et avec un terme très court) et changeantes ; cette instabilité juridique procède de la volonté des autorités de relever les normes suite aux différents scandales alimentaires, mais aussi d'une approche protectionniste, visant à réduire la concurrence générée pour les produits nationaux (amidon, produits laitiers frais, vins...) ;
- barrières de facto, avec notamment des procédures de quarantaine d'application variables selon le point d'entrée, pénalisant en particulier les produits frais à durée de vie courte (fromages, huîtres...).
Les distributeurs Auchan et Carrefour, sur le segment des produits transformés, sont disposés à favoriser le développement de ces exportations. Ainsi, Carrefour est intéressé par les perspectives qu'offrent ces produits importés : ceux-ci représentent 2 % du chiffre d'affaires des produits alimentaires, mais 18 % des 11 magasins (sur 207 en Chine) où ils sont significativement présents. Ce sont, en outre, ces produits qui ont la plus forte croissance (+ 15 % en 2011, alors que les ventes alimentaires stagnent). Carrefour souhaite donc développer ces importations, notamment avec la gamme Carrefour ou sa marque de distributeur (MDD) « Reflet de France »).
II. LES MULTIPLES ACTEURS INSTITUTIONNELS ET PRIVÉS EN CHARGE DE L'APPUI AUX EXPORTATIONS
En termes d'organisation, il existe un grand nombre d'institutions chargées d'appuyer l'export et l'implantation des entreprises. Leur compétence est en général reconnue par les professionnels présents en Chine. Ces institutions bénéficient ou non de subventions publiques (Ubifrance, qui est un EPIC ; Sopexa, organismes privé ayant gagné un appel d'offre et bénéficiant, en conséquence, d'une délégation de service publique (DSP) pour la promotion des produits agroalimentaires français à l'étranger ; acteurs de la coopération décentralisée ; CCEF ; CCIFC ; sociétés privées, telles qu'Altios...). Elles répondent chacune à des logiques techniques et financières propres. Enfin, il faut noter que peu de CCEF opèrent dans le secteur agricole (7 sur 105 membres).
III. LES ENSEIGNEMENTS RETIRÉS DE LA VISITE
Cette multiplication des acteurs pose la question de leur coordination et, pour certains, de leur pilotage alors qu'ils sont « condamnés à vivre ensemble » ; c'est notamment le cas de Sopexa et d'Ubifrance. Or, il ne semble pas exister, à ce stade, de véritable plan stratégique global, basé sur une réflexion vraiment collective permettant de conquérir le marché chinois et où chacun aurait sa place. L'équipe de France de l'export est, à ce titre, une base appréciable, mais apparaît davantage comme une plateforme d'échange qu'une instance de planification en commun.
Il ressort de cette mission une série de constats :
- malgré les compétences reconnues de chacun de ces acteurs, il faut souligner une faiblesse de l'organisation collective du dispositif et, en particulier, le manque d'élaboration d'un plan stratégique couvrant l'ensemble des besoins d'appuis, négocié avec l'ensemble des acteurs, actuellement nombreux et dispersés ;
- un manque d'information en France sur les opportunités du marché agroalimentaire chinois, notamment vis-à-vis des interprofessions agricoles, conduit à une image erronée du marché ;
- du fait de la très forte influence de l'État en Chine, il est nécessaire d'articuler les aspects régaliens et commerciaux, afin de réduire les contraintes à l'accès au marché de jure (normes sanitaires) ou de facto (procédures douanières).
Les difficultés auxquelles sont confrontées les exportations agroalimentaires françaises en Chine ont permis d'évoquer des pistes de solutions, tant en France qu'au niveau local, même si le travail sénatorial d'équipe (l'équipe missionnée sur ce sujet est constituée, outre d'André Ferrand, de Christian Bourquin, Yannick Botrel et Joël Bourdin) permettra de les discuter et de les affiner :
- impulser, de la part des ministères concernés, de façon conjointe, dans un cadre approprié de rencontre entre administration et professionnels, l'élaboration de stratégies à l'export, basées sur une analyse de la situation du marché chinois. Les comités spécialisés de FranceAgriMer, pour certaines filières, ont pu être évoqués, pour ce faire ;
- s'appuyer sur les CCEF, comme cela a commencé à se faire sur la Chine, pour permettre une meilleure connaissance du marché et de l'économie chinois ;
- donner à l'État, au niveau local, un rôle et des moyens claires de coordination des différentes structures qui concourent, dans ce domaine comme dans d'autres, à la promotion de nos exportations grâce à des concours publics. Cela devrait permettre d'élaborer un plan stratégique couvrant l'ensemble des promotions, accompagnement réglementaire...) mais aussi d'implantation ;
- accorder de la souplesse, en termes d'objectifs et de mise en oeuvre aux structures disposant de subventions publiques (Sopexa et Ubifrance, en particulier) pour adapter leurs actions aux réalités du marché en se dégageant d'une simple logique de chiffres d'affaires. En effet, Ubifrance comme Sopexa travaillent principalement sur le secteur du vin (pratiquement 100 % de l'activité à Sopexa, 80 % à UbiFrance), pour lequel il est facile de monter des actions payantes au détriment d'autres secteurs, moins immédiatement « rentables » mais aux débouchés porteurs à moyen terme.
Les possibilités d'exportations agroalimentaires sont conséquentes, comme l'illustre le commerce Chine - États-Unis. La demande en produits alimentaires de la Chine s'accroît, avec des besoins quantitatifs et des exigences qualitatives accrues ; l'agriculture et les industriels européens peuvent y répondre. La situation d'importateur structurel de la Chine crée ainsi des opportunités. Une meilleure organisation du côté français apparaît nécessaire pour les saisir ; mais il convient aussi d'ouvrir l'accès à ce marché par une conformité accrue aux règles du commerce international, de la part des autorités chinoises.
Deux évolutions incitent à une attention renforcée sur ce point : d'une part, l'exigence de réciprocité dont fait montre l'Union européenne, avec la préparation de la directive sur les marchés publics et la position du Parlement sur l'accès au marché ; d'autre part, la préparation, par les autorités chinoises, d'une enquête anti-dumping à l'encontre des exportations européennes de vins, dont les producteurs locaux se plaignent de la croissance.
*
* *
Appendice
Visite des lycées français de Hong-Kong, Shanghai et Pékin
Au lycée français international de Hong Kong Victor Segalen, la réunion des représentants du Comité exécutif a permis de souligner l'importance du projet de développement du lycée (arrivée à saturation des effectifs en 2015) et les besoins de financement liés à ce projet (coût total estimé à 40 millions d'euros). Les représentants du comité exécutif ont également insisté sur l'importance des discussions en cours avec l'AEFE sur la gouvernance du lycée et la nécessité, à leur yeux, de créer un poste de délégué permanent du Comité exécutif au sein du lycée. En outre, la visite du nouveau site du lycée, ouvert à la dernière rentrée, a mis en lumière la qualité du travail de rénovation et des aménagements.
Par ailleurs, dans le cadre de la visite du lycée français de Shanghai (LFS), une réunion avec l'équipe de direction et un membre du comité de gestion, sur le campus de Qingpu, a permis d'identifier les enjeux auxquels le LFS fait face :
- accompagner la croissance de la communauté française à Shanghai : le LFS connaît une hausse des élèves scolarisés (+ 15 % à la rentrée 2012, par rapport à 2011). Le lycée, appuyé par notre Consulat général, s'est engagé dans des projets d'extension, à la fois sur ses campus de Pudong et de Qingpu, pour répondre à cette demande ;
- proposer une offre de formation attractive et ouverte à l'international, afin de répondre à la concurrence entre les établissements internationaux installés à Shanghai et dans la région Asie, par exemple pour le recrutement de professeurs anglophones qualifiés ;
- poursuivre la professionnalisation du pilotage du LFS ; le renouvellement de la convention avec l'AEFE, signée en novembre 2011 permet à ce titre une gouvernance pertinente et équilibrée entre la direction et le comité de gestion ;
- parvenir à résoudre la question des impositions auxquelles est soumis le lycée qui, pour répondre à la nouvelle loi sur les charges sociales des employés étrangers, provisionne un montant de fons équivalent à 10 % de son budget.
Le site principal du lycée français international de Pékin a également été visité. Une réunion spécifique a eu lieu avec l'équipe en charge du suivi du projet immobilier du nouveau lycée, quelques jours avant la cérémonie de signature des contrats et marchés relatifs au projet du 8 juin, en présence de la directrice de l'Agence pour l'enseignement français à l'étranger et attendue de longue date par la communauté française à Pékin.
* 41 La présente annexe a été élaborée sur la base des constats effectués avec le réseau diplomatique : Slimane Kerchouni à Hong-Kong, François Blanc et Amaëlle Mayer à Shanghai, Carole Ly et Thomas Pavie à Pékin.