VERILLON (MAURICE), sénateur de la Drôme (Soc.).
NOMINATIONS
Secrétaire de la commission des affaires culturelles.
Est nommé membre titulaire du conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche [20 mai 1976].
INTERVENTIONS
- Projet de loi de finances pour 1977 (n° 64).
Deuxième partie :
Industrie et recherche [25 novembre 1976] (p. 3527) : les moyens de l'année passée sont tout juste maintenus ; les effectifs de la recherche ; l'allocation de recherche annuelle ; se demande si la recherche fondamentale n'est pas négligée au bénéfice d'applications immédiates dans le domaine industriel ; le VII e Plan (notion de programmes d'action ; recherche fondamentale ; politique d'emploi et de formation) ; (p. 3528) : l'information du public est nécessaire ; les problèmes du nucléaire.
Coopération [26 novembre 1976] (p. 3553) : le rapport de la politique française de coopération présenté par M. Abelin en septembre 1975; (p. 3554) : la dégradation des moyens de la politique de coopération. Le budget du ministère augmenté légèrement avec d'importantes disparités suivant les recteurs. Les crédits du F. A. C. Les moyens en personnel. Le nombre de coopérants diminue mais leur niveau individuel augmente. Le secteur de l'équipement et du développement industriel est renforcé. Renforcer la formation reçue par les coopérants avant leur départ en pays francophones. La scolarisation des jeunes Français à l'étranger. Les moyens de diffusion culturelle. Les bourses d'études et de stages. Les centres culturels français dans les pays francophones ; (p. 3555) : la coopération culturelle. Le respect des particularités nationales (africanisation de l'enseignement). Les expériences de radiodiffusion et de télévision éducatives.
Créer des écoles aux instituts à finalités professionnelles. La coopération en matière de recherche scientifique (l'O.R.S.T.O.M. et le G. E. R. D. A T). Préserver et développer la place de la culture française. Tenter des expériences pilotes (actions sociales). Donner la priorité à la formation technique, à la formation des formateurs et à l'aide à l'enseignement supérieur.
Qualité de la vie. - II. - Jeunesse et sports [4 décembre 1976] (p. 3946) : regrette que la jeunesse ne bénéficie pas d'une action prioritaire. Le sport dans sa généralité ; regrette le privilège du sport d'élite ; l'utilisation de la télévision. Le sport à l'école ; la pédagogie sportive ; le respect des programmes d'action prioritaire dans ce domaine. La grève du Creps de Toulouse ; les créations de postes nécessaires pour assurer les cinq heures d'éducation physique et sportive prévues dans le VII e Plan. Les fermetures d'établissements dues aux restrictions de crédits. L'expérience des centres d'animation sportive. L'aide aux mouvements sportifs ; regrette que les petites communes restent sous-équipées ; (p. 3947) : les activités sous culturelles ; la stagnation des crédits. Le comité de coordination nationale des associations de jeunes et d'éducation populaire. L'union régionale des francs et franches camarades. Les associations qui s'intéressent à la coopération internationale. La survie des centres d'entraînement aux méthodes d'éducation active. L'effort des collectivités locales ne permettra qu'à peu d'enfants de partir en vacances. Les maisons de jeunes et de la culture. Regrette la taxe de 4,25 p. 100 sur les salaires qui n'affecte que les emplois des maisons de jeunes et de la culture. Le groupe socialiste est favorable aux amendements de MM. Guy Schmaus, Jacques Pelletier et Jean Francou.