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Question de M. Hubert Falco (Var - Les Républicains) publiée le 16/02/2017
M. Hubert Falco attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la publication de l'arrêté du 10 janvier 2017 fixant le nombre d'étudiants de première année commune aux études de santé autorisés à poursuivre leurs études en médecine à la suite des épreuves terminales de l'année universitaire 2016-2017 et le nombre d'étudiants pouvant être admis directement en deuxième année de ces études à la rentrée universitaire 2017-2018 en application de l'article 9 du décret n° 2014-189 du 20 février 2014 tendant à l'expérimentation de modalités particulières d'admission dans les études médicales, odontologiques, pharmaceutiques et maïeutiques.
La faculté d'Aix-Marseille dont la réputation n'est plus à faire réclamait 75 postes supplémentaires mais n'en a obtenu que 47, soit un numérus clausus qui reste à 362 (13 % seulement d'augmentation) alors que la demande faite par le doyen était de 390 postes, soit une augmentation légitime de 19,2 %. Alors même que l'espoir était grand chez les étudiants de première année commune aux études de santé (PACES) de voir le numérus augmenté, la déception fut d'autant plus grande que la majorité des autres facultés françaises de médecine comme Lyon qui passe de 411 à 527 places, soit + 22%, ou bien encore l'institut catholique de Lille de 104 à 130, soit + 20 %, ont vu leur demande totalement satisfaite.
Aussi, compte tenu de la qualité de l'enseignement pratiqué dans la faculté de médecine d'Aix-Marseille, il lui demande si elle envisage de revoir cette mesure considérée comme discriminatoire pour toute la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
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Transmise au Ministère des solidarités et de la santé
La question est caduque
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