Rapport d'information n° 82 (2007-2008) de M. Michel MERCIER , fait au nom de la commission des finances, déposé le 13 novembre 2007
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                                                I.  INTRODUCTION
                                                
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                                                        A. LE « MYSTÈRE » DU
COMPTE D'AVANCES : UN EXCÉDENT PERMANENT DEPUIS 1996, CONTRAIREMENT
AUX PRÉVISIONS
                                                        
 
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                                                        B. RÉSUMÉ DU PRÉSENT RAPPORT
D'INFORMATION
                                                        
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                                                                1. L'excédent du compte d'avances est un
phénomène normal, qui devrait s'interrompre à court terme,
et ne correspond à aucune perte pour les collectivités
territoriales
                                                                
 
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                                                                2. Si on prend en compte l'ensemble de ses
relations de trésorerie avec les collectivités territoriales,
l'Etat « gagne » 1 milliard d'euros par an
                                                                
 
 
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                                                                1. L'excédent du compte d'avances est un
phénomène normal, qui devrait s'interrompre à court terme,
et ne correspond à aucune perte pour les collectivités
territoriales
                                                                
 
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                                                        A. LE « MYSTÈRE » DU
COMPTE D'AVANCES : UN EXCÉDENT PERMANENT DEPUIS 1996, CONTRAIREMENT
AUX PRÉVISIONS
                                                        
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                                                II. LES PRINCIPALES OBSERVATIONS DE VOTRE
RAPPORTEUR SPÉCIAL
                                                
 
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                                                III. PRÉSENTATION GÉNÉRALE DU
COMPTE D'AVANCES
                                                
 
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                                                IV. L'EXCÉDENT PERMANENT DU COMPTE DEPUIS
1996
                                                
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                                                        A. UN EXCÉDENT FORCÉMENT NON DURABLE
QUI PROVIENT DU RECOUVREMENT PROGRESSIF D'UN STOCK DE « VIEILLES
CRÉANCES », EN PARTIE PAYÉES PAR L'ETAT
                                                        
 
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                                                        B. COMMENT EXPLIQUER LA SOUS-ESTIMATION QUASI
SYSTÉMATIQUE DU SOLDE DU COMPTE DEPUIS 1996 ?
                                                        
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                                                                1. En moyenne, des dépenses
sous-estimées de 400 millions d'euros, des recettes sous-estimées
de 850 millions d'euros, d'où un solde sous-estimé de 450
millions d'euros
                                                                
 
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                                                                2. Une sous-estimation du solde qui provient en
pratique essentiellement d'une sous-estimation du taux de recouvrement des
exercices antérieurs à l'exercice en cours
                                                                
 
 
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                                                                1. En moyenne, des dépenses
sous-estimées de 400 millions d'euros, des recettes sous-estimées
de 850 millions d'euros, d'où un solde sous-estimé de 450
millions d'euros
                                                                
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                                                        C. UN RETOUR AU DÉFICIT AUTOUR DE
2010 ?
                                                        
 
 
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                                                        A. UN EXCÉDENT FORCÉMENT NON DURABLE
QUI PROVIENT DU RECOUVREMENT PROGRESSIF D'UN STOCK DE « VIEILLES
CRÉANCES », EN PARTIE PAYÉES PAR L'ETAT
                                                        
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                                                V. QUEL BILAN DES RELATIONS FINANCIÈRES
ENTRE L'ETAT ET LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ?
                                                
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                                                        A. UN EXCÉDENT QUI NE CORRESPOND PAS
À DE MOINDRES RECETTES POUR LES COLLECTIVITÉS
TERRITORIALES
                                                        
 
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                                                        B. COMMENT ÉVALUER L'IMPACT DU COMPTE
D'AVANCES SUR LE SOLDE DU BUDGET GÉNÉRAL ?
                                                        
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                                                                1. Le solde du compte d'avances : une
approche simple mais insuffisante
                                                                
 
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                                                                2. Le solde du compte d'avances, diminué de
la totalité des remboursements et dégrèvements : une
approche qui n'a guère de sens
                                                                
 
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                                                                3. La solution retenue par votre rapporteur
spécial : le solde du compte d'avances, diminué des
admissions en non valeur et des dégrèvements
ordinaires
                                                                
 
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                                                                4. L'incapacité soudaine du gouvernement
à fournir le montant des dégrèvements ordinaires pour
quelque année que ce soit
                                                                
 
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                                                                5. Une incapacité qui renforce,
paradoxalement, la crédibilité des estimations
présentées par votre rapporteur spécial
                                                                
 
 
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                                                                1. Le solde du compte d'avances : une
approche simple mais insuffisante
                                                                
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                                                        C. QUEL BÉNÉFICE GLOBAL POUR L'ETAT,
UNE FOIS PRISES EN COMPTE L'ENSEMBLE DE SES RELATIONS DE TRÉSORERIE AVEC
LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ?
                                                        
 
 
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                                                        A. UN EXCÉDENT QUI NE CORRESPOND PAS
À DE MOINDRES RECETTES POUR LES COLLECTIVITÉS
TERRITORIALES
                                                        
 
                                                             
                                                             
                                                             
                                                             
                                                             
                                                             
                                                            