Rapport d'information n° 649 (2019-2020) de M. Jean BIZET , fait au nom de la commission des affaires européennes, déposé le 16 juillet 2020
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                                                        L'ESSENTIEL
                                                        
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                                                        AVANT-PROPOS
                                                        
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                                                                I.  POLITIQUE AGRICOLE COMMUNE ET POLITIQUE DE
CONCURRENCE : UN COMPROMIS DÉSÉQUILIBRÉ, D'UNE
COMPLEXITÉ BYZANTINE
                                                                
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                                                                        1. La difficile conciliation entre PAC et droit de
la concurrence débouche sur un net avantage en faveur de ce
dernier
                                                                        
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                                                                        2. L'économie générale du
règlement « OCM » 1308/2013,
« clé de voûte » du dispositif
juridique en vigueur
                                                                        
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                                                                        3. Le rôle très encadré des
Organisations de producteurs et la pratique décisionnelle des
autorités nationales de la concurrence, peu adaptée au secteur
agricole
                                                                        
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                                                                        4. Les réserves de l'Autorité de la
concurrence encore confirmées dans son avis n° 18-A-04 du
3 mai 2018 relatif au secteur agricole
                                                                        
 
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                                                                        1. La difficile conciliation entre PAC et droit de
la concurrence débouche sur un net avantage en faveur de ce
dernier
                                                                        
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                                                                II. MALGRÉ DES PROGRÈS
RÉCENTS, LE DROIT DE LA CONCURRENCE NE PROTÈGE PAS ASSEZ LES
AGRICULTEURS
                                                                
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                                                                        1. Un cadre général
asymétrique et défavorable aux agriculteurs
                                                                        
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                                                                        2. Une lente évolution du droit
européen, sous l'effet de « coups de boutoir »
successifs
                                                                        
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                                                                        3. Le maintien de fortes réticences de la
Commission européenne, exprimées dans ses très
singulières « observations » publiées en
annexe du règlement « Omnibus »
                                                                        
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                                                                        4. Le « tabou des prix »
toujours pas surmonté
                                                                        
 
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                                                                        1. Un cadre général
asymétrique et défavorable aux agriculteurs
                                                                        
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                                                                III. UNE ILLUSTRATION DES LIMITES DU DISPOSITIF
CONCURRENTIEL ACTUEL : L'AGGRAVATION DES MAUX DE LA FILIÈRE BOVINE,
TALON D'ACHILLE DE NOTRE AGRICULTURE
                                                                
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                                                                        1. Une crise structurelle sans fin de la
filière viande bovine française ?
                                                                        
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                                                                        2. L'affaiblissement consécutif de la
position de la France dans les négociations commerciales
                                                                        
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                                                                        3. Les leviers d'action limités des seuls
pouvoirs publics français
                                                                        
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                                                                        4. Privilégier une démarche
pragmatique, pour dégager progressivement une perspective de sortie
« par le haut »
                                                                        
 
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                                                                        1. Une crise structurelle sans fin de la
filière viande bovine française ?
                                                                        
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                                                                IV. TRANCHER LE NoeUD GORDIEN EN S'INSPIRANT DE LA
LÉGISLATION AMÉRICAINE : LE CAPPER-VOLSTEAD ACT DU
18 FÉVRIER 1922, UN CADRE JURIDIQUE QUI A FAIT SES PREUVES
                                                                
 
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                                                                I.  POLITIQUE AGRICOLE COMMUNE ET POLITIQUE DE
CONCURRENCE : UN COMPROMIS DÉSÉQUILIBRÉ, D'UNE
COMPLEXITÉ BYZANTINE
                                                                
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                                                        EXAMEN EN COMMISSION
                                                        
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                                                        LISTE DES PERSONNES AUDITIONNÉES
                                                        
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                                                        ANNEXE 1
                                                        
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                                                        ANNEXE 2