ORDRE DU JOUR

M. le président. Voici quel sera l'ordre du jour de la prochaine séance publique, précédemment fixée au mardi 29 octobre 1996 :
A neuf heures trente :
1. Questions orales sans débat suivantes :
I. - M. Jean-Jacques Robert attire l'attention de M. le ministre de la défense sur l'inquiétude des 330 salariés du centre de recherches du Bouchet, établissement dépendant de la Société nationale des poudres et explosifs, la SNPE, située à Vert-le-Petit (Essonne).
En effet, le renouvellement des contrats annuels d'études, prévu normalement début septembre, n'a pas été notifié au centre, ce qui place le personnel en chômage technique.
De plus, le montant prévisionnel de cette notification par la direction générale de l'armement serait réduit d'environ 40 millions de francs pour 1997.
Le volume des contrats à venir laisserait même présager l'abandon du centre de recherches.
C'est pourquoi il lui demande de bien vouloir lui indiquer s'il entend poursuivre ses engagements contractuels avec la SNPE et lui préciser quels sont ses projets concernant l'avenir de cet établissement et de ses deux cents chercheurs de haut niveau. (N° 459.)
II. - M. Lucien Lanier appelle l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche sur l'attribution aux chefs d'établissement de 3e et 4e catégorie ainsi qu'à ceux de la 4e catégorie majorée, d'une nouvelle bonification indiciaire.
Cette mesure figure, entre autres, au relevé des décisions ministérielles en date du 28 janvier 1995, sous la rubrique III, 7, pour prendre effet au 1er janvier 1996. Elle est d'ailleurs inscrite et prévue au budget 1996.
Il semblerait cependant que le texte d'application de cette mesure soit actuellement bloqué.
Il demande quelles sont les raisons de cette anomalie, et s'il peut y être remédié le plus rapidement possible. (N° 465.)
III. - M. René Rouquet attire l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche sur le manque de places dans les écoles maternelles du Val-de-Marne.
En effet, un nombre croissant d'enfants, parvenus à la limite d'âge en crèche, ne peut être admis en école maternelle, le nombre de postes d'enseignant se révélant insuffisant. Les enfants nés le premier trimestre 1994 et âgés de trois ans au cours du premier trimestre 1997 sont plus particulièrement concernés par cette situation. L'inspection académique ne comptabilise pas ces enfants pour la rentrée 1996 et n'accepte pas leur entrée à l'école maternelle en cours d'année scolaire dès leurs trois ans (janvier à juin 1997).
Cette situation s'amplifie désormais chaque année, privant les enfants du bénéfice d'un enseignement de qualité et jetant leurs parents dans le désarroi par manque de solution de garde.
La seule solution véritablement adaptée aux besoins de l'enfant ne pouvant venir que de l'Etat, il lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures qu'il compte prendre pour permettre l'admission à l'école maternelle de tous les enfants dans l'année de leurs trois ans. (N° 464.)
IV. - M. André Vezinhet souhaite obtenir de M. le ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche des explications et des engagements précis concernant l'éviction des candidats admis sur les listes complémentaires aux concours d'enseignement du second degré.
Ces listes rassemblent des candidats qui ont été jugés aptes à enseigner ou à éduquer par des jurys de concours et il est d'usage, chaque année, que le ministère ait recours à elles pour pallier les désistements survenus sur les listes principales. Il rappelle au ministre que cette année, comme les précédentes, des désistements massifs ont bien eu lieu, mais que courant août il a été décidé, fait sans précédent, et sans aucune justification, de ne pas « puiser » dans ces effectifs, laissant les reçus-collés dans le plus grand désarroi et sans aucune perspective. Se heurtant à une absence totale d'information, ces derniers se sont organisés en collectifs régionaux puis en collectif national et se sont adressés par lettre à leur ministre de tutelle, au Premier ministre et au Président de la République. Devant l'absence de réponse des responsables politiques, ils ont réussi à obtenir une audience auprès de la direction du ministère le 30 septembre dernier, sans résultat concret ni satisfaisant.
A ce jour, en effet, seulement 183 personnes admises sur listes complémentaires ont été recrutées pour enseigner alors que plus de 500 désistements ont été enregistrés.
Il demande au ministre s'il est en mesure de lui annoncer, plus d'un mois après la rentrée scolaire, le déblocage de toutes les listes complémentaires à hauteur des désistements ou s'il entend sacrifier sur l'autel de la rigueur budgétaire ces jeunes enseignants lauréats d'un concours national, motivés par la mission d'enseigner, les reléguant ainsi dans une situation matérielle aléatoire et extrêmement précaire et moralement inacceptable. (N° 461.)
V. - Mme Danielle Bidard-Reydet attire l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche sur la situation scolaire de son département où plus de 1 000 élèves étaient sans affectation à la rentrée. A ce jour, seulement 500 jeunes ont obtenu une affectation, sans que le respect de leur choix d'orientation ait obligatoirement été respecté.
Dans un tel contexte, le chiffre de 1 200 maîtres auxiliaires au chômage pour l'académie ce qui, compte tenu du fait que la Seine-Saint-Denis représente environ 40 % des effectifs scolarisés, correspondrait à environ 500 maîtres auxiliaires au chômage pour le département, ajouté aux 150 instituteurs sans affectation dans la Seine-Saint-Denis, suscite une vive émotion parmi la communauté enseignante et les parents d'élèves. Cette émotion est d'autant plus forte que l'annonce de la suppression de 2 900 postes d'enseignant dans le premier degré et de 1 893 postes dans le second degré programmée dans le projet de loi de finances 1997 qui vient d'être faite ne sera pas sans conséquence sur le département, bien qu'aucune précision par académie n'ait été donnée.
Elle souhaite qu'il lui expose les moyens qu'il compte mettre en oeuvre, notamment par l'ouverture de filières, afin de trouver une affectation à tous les jeunes de la Seine-Saint-Denis pour cette rentrée. (N° 453.)
VI. - Le Gouvernement a annoncé un certain nombre de projets fiscaux visant à supprimer les déductions supplémentaires pour frais professionnels accordées à certaines professions, dont les musiciens.
Les conséquences d'une telle mesure, si elle était appliquée, sont multiples.
Pour les musiciens eux-mêmes, dont le pouvoir d'achat régresse alors que les frais professionnels augmentent.
Pour les orchestres enfin, dont les cotisations salariales des musiciens sont calculées sur le salaire brut minoré de l'abattement fiscal actuellement remis en cause.
En conséquence, M. Ivan Renar demande à M. le ministre de la culture quelles mesures il compte prendre afin de favoriser le retrait de ce projet. (N° 456.)
VII. - M. Ivan Renar attire l'attention de M. le ministre de la culture sur les conséquences de la suppression de l'abattement de 30 % pour frais professionnels dont bénéficient les journalistes.
Cet abattement a été instauré en 1934 et fait partie intégrante du statut de journaliste.
Il faut aussi le considérer comme une aide à la presse, dans une profession où la moyenne des salaires est de 12 000 francs brut.
Sa suppression entraînerait une perte du pouvoir d'achat équivalant à un mois de salaire.
Au-delà, elle s'apparente à une remise en cause du statut du journaliste.
En conséquence, il lui demande quelles mesures il entend prendre pour garantir le maintien de cet abattement. (N° 450.)
VIII. - M. Ivan Renar attire l'attention de M. le ministre de la culture sur le non-versement de l'intégralité de la subvention d'Etat aux quotidiens à faibles ressources publicitaires.
En effet, cette subvention a été instituée il y a plus de quinze ans pour compenser partiellement les difficultés spécifiques des quotidiens ne bénéficiant que de faibles ressources publicitaires.
Lors de l'examen de la loi de finances de 1996, une hausse de 50 % de cette aide a été votée par le Parlement. Or il s'avère que seule une partie de cette enveloppe a été versée, le manque à gagner pour les quotidiens concernés s'élevant à 3,6 millions de francs.
Derrière ces chiffres, c'est le respect du pluralisme des titres et la survie de certains journaux qui sont menacés.
En conséquence, il lui demande quelles mesures il compte prendre pour que soit versée l'intégralité du fonds d'aide. (N° 451.)
IX. - M. Jean-Jacques Robert attire l'attention de M. le ministre du travail et des affaires sociales sur la situation de la formation en alternance ainsi que sur le projet de fusion des collectes des taxes de l'alternance et de l'apprentissage.
Il constate que les organismes paritaires collecteurs agréés, les OPCA, à qui seraient confiés les fonds collectés, tardent cette année encore à reverser aux entreprises et aux centres de formation les taxes de l'alternance.
Il semble que 2,5 milliards de francs soient également bloqués à l'Association de gestion du fonds des formations en alternance, l'AGEFAL, alors que 20 000 contrats de qualification n'ont pas trouvé de financement.
C'est pourquoi il lui demande quelles mesures il compte mettre en oeuvre pour remédier à cette situation particulièrement préoccupante. (N° 458.)
X. - M. Hubert Durand-Chastel attire l'attention de Mme le ministre délégué pour l'emploi sur le fait que la création d'emplois en France dépend beaucoup de nos exportations et des parts de marchés à l'extérieur.
La mondialisation de l'économie nécessite d'accentuer la présence française à l'étranger ; il existe, en effet, une corrélation entre les flux de notre commerce extérieur dans une zone donnée et le nombre de ressortissants français installés dans cette zone.
Or, le nombre de Français résidant à l'étranger reste très insuffisant, en particulier dans les pays émergents. Un des obstacles au développement de l'expatriation tient au fait que le nombre des offres d'emplois à l'international est très inférieur au nombre de candidats au départ. Conscient de cette difficulté, le Président Jacques Chirac, en déclarant le 29 août aux ambassadeurs de France : « vous êtes aussi les ambassadeurs de l'économie française et c'est sur ce terrain que votre action sera jugée », a porté la préoccupation de l'emploi au niveau de l'action diplomatique.
Déjà, un regroupement des organismes de soutien au commerce extérieur au sein d'un groupement d'intérêt public a été réalisé, pour mieux coordonner et redéployer les actions visant à l'internationalisation des entreprises. S'agissant de l'emploi à l'étranger, deux grandes structures en France gèrent les offres et les demandes : l'Office des migrations internationales, l'OMI, et l'ANPE international ; ce dernier organisme a, au cours du premier semestre 1996, traité 2 601 offres d'emploi ; mais la faiblesse de son effectif en personnes, 19 employés au total, limite son activité. Ne conviendrait-il pas de le renforcer sensiblement avec des membres du nombreux personnel de l'ANPE, qui compte plus de 15 000 personnes ?
Ne serait-il pas également souhaitable de coordonner les actions et les moyens de ces services, et de rechercher une synergie avec les comités consulaires pour l'emploi et la formation et les autres acteurs qui sont situés à l'étranger ?
Ces mesures prenant en compte la mondialisation du travail faciliteraient l'expatriation des Français, avec l'accroissement de nos exportations et un meilleur emploi en France. (N° 467).
XI. - Mme Danielle Bidard-Reydet attire l'attention de M. le ministre du travail et des affaires sociales sur l'avenir de l'hôpital Avicenne, en Seine-Saint-Denis.
Celui-ci a une double vocation : d'une part, répondre aux besoins de santé d'une population de 1,5 million d'habitants, d'autre part, jouer son rôle de centre hospitalier universitaire en liaison avec l'unité de formation et de recherche, l'UFR, médecine de Bobigny, composante de l'université Paris-Nord-Villetaneuse.
Cet hôpital est localisé dans le nord-est parisien, nettement sous-équipé en établissements hospitaliers par rapport au reste de la région parisienne. Ancien hôpital franco-musulman, il n'a jamais bénéficié d'une modernisation et d'une remise à niveau à la hauteur des exigences voulues par l'Assistance publique pour ses hôpitaux parisiens.
Lié à l'UFR de médecine à Bobigny, l'hôpital Avicenne participe au développement de l'enseignement supérieur et de la recherche en Seine-Saint-Denis. Ces filières universitaires du domaine scientifique, sanitaire et social permettent la formation de près de 4 000 étudiants principalement originaires du département. Mais il n'a jamais bénéficié de création d'unité de recherche de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale, l'INSERM, ou du Centre national de la recherche scientifique, le CNRS. La création, il y a neuf ans, de l'Institut oncologique cellulaire moléculaire humaine, l'IOCMH, malgré les limites de sa forme associative, a permis de pallier cette absence.
Malgré les garanties antérieures et l'engagement financier du conseil général de la Seine-Saint-Denis, les récentes décisions de diminution importante de crédits auraient de très lourdes conséquences. Elles remettent tout d'abord en cause le projet de création d'un centre de cancérologie. Pourtant, le cancer est la première cause de mortalité en Seine-Saint-Denis, et près d'un patient sur deux pris en charge à Avicenne relève d'une pathologie tumorale. Ensuite, elles accroîtraient le déséquilibre du secteur public par rapport au secteur privé. Enfin, en fragilisant la structure hospitalière, elles affaiblissent les conditions d'enseignement et de recherche de l'UFR d'autant plus que l'IOCMH, financé par le seul secteur associatif, voit ses crédits diminuer et est lui-même menacé.
Cette situation entraîne un grand mécontentement de la part des personnels, des élus et de la population de Seine-Saint-Denis, qui souhaitent un véritable centre hospitalier universitaire de qualité. D'où la nécessaire création d'un véritable centre de cancérologie tel qu'il était programmé dans le plan quinquennal 1996-2000, regroupant les activités déjà existantes, complétées par un centre de radiothérapie.
Afin de permettre à la Seine-Saint-Denis de bénéficier d'un CHU de haute qualité scientifique et médicale, elle lui demande d'intervenir afin que des crédits d'investissement soient débloqués et que l'autorisation d'implantation de radiothérapie soit accordée. (N° 452.)
XII. - M. Jacques Machet interroge M. le ministre de l'économie et des finances sur le projet de loi de finances pour 1997.
Plusieurs mesures prises par le Gouvernement concernant l'immobilier inquiètent les acteurs de ce secteur de notre économie.
Tout d'abord, la décision de ne pas reconduire pour 1997 la baisse de 30 % des droits de mutation à titre onéreux, ainsi que l'allégement des droits de succession ou de donation pour les logements locatifs anciens tandis que l'obligation pour les investisseurs de pratiquer des loyers intermédiaires est maintenue.
Ensuite, le projet de loi de finances pour 1997 ne prévoit pas la reconduction de la possibilité d'obtenir un prêt à taux zéro dans l'ancien avec peu de travaux et supprime la déductibilité des intérêts d'emprunt pour l'achat de la résidence principale.
Le marché de l'immobilier ne cesse de régresser malgré plusieurs annonces d'une reprise qui, malheureusement, se fait toujours attendre.
Certaines mesures pourtant pourraient relancer ce secteur d'activité dont celles-ci :
- un dispositif d'aide simple correspondant à une déduction d'impôt de 10 % du prix du logement ancien acquis ;
- la déduction forfaitaire des charges portée à 15 % ;
- l'alignement du plafond d'imputation des déficits fonciers sur le revenu global du logement ancien et du logement neuf, soit 100 000 F au lieu de 70 000 F ;
- que la mesure visant à une déductibilité de 20 % des travaux engagés avec un plafond de 40 000 F puisse être faite plus d'une fois tous les cinq ans et que la définition des travaux soit élargie.
Ces mesures permettraient de relancer le bâtiment et l'immobilier et de mettre un terme à la progression constante des suppressions d'emplois constatée ces dernières années. (N° 468.)
XIII. - M. André Vezinhet appelle l'attention de M. le ministre de l'économie et des finances sur les derniers résultats économiques et financiers publiés par le conseil d'administration du Crédit foncier, le 29 août 1996, pour le premier semestre 1996, qui affiche un bénéfice net de 402 millions de francs.
A la lecture de ces chiffres, il apparaît que la situation de cet établissement est aujourd'hui fort éloignée des difficultés avancées par le Gouvernement et qui avaient conduit ce dernier à présenter un plan d'ensemble le 26 juillet 1996.
Ce projet, qui programme le démantèlement d'un établissement reconnu par tous pour ses compétences dans le financement du logement social, ne nous paraissait pas une réponse adaptée ; à ce jour, il est totalement inacceptable.
Il interroge le ministre sur ses intentions.
Compte-t-il persister dans la direction qu'il s'était fixée il y a quelques mois ou bien compte-t-il profiter du débat parlementaire annoncé pour rechercher des solutions autres qui sont souhaitables et possibles et qui ouvriraient de meilleures perspectives pour les 3 300 salariés du Crédit foncier ?
Il lui indique enfin que, si la première hypothèse devait être privilégiée, son groupe politique combattrait avec force et détermination un ensemble de mesures qui, d'un trait de plume, gommerait l'existence et le savoir-faire d'une institution fondée il y a cent cinquante ans. (N° 462.)
XIV. - M. Yves Guéna demande à M. le ministre délégué au logement si une limitation trop restrictive des plafonds de ressources pour l'attribution de logements HLM ne risque pas d'avoir des conséquences dommageables pour la gestion des offices HLM.
En effet, d'une part, ces restrictions risquent de laisser vides un certain nombre de logements ; d'autre part, la situation précaire de nombre de locataires entraînera des difficultés pour le recouvrement de loyers. Face à une telle situation, les offices rencontreront des problèmes de financement à court terme et devront ralentir le rythme des constructions. (N° 463.)
XV. - Mme Nicole Borvo attire l'attention de M. le ministre de l'équipement, du logement, des transports et du tourisme sur les conséquences dramatiques qu'aurait la délocalisation des services centraux de la SNCF envisagée par la direction pour Paris mais aussi pour l'ensemble de l'entreprise.
Cette délocalisation irait contre les intérêts des usagers et des cheminots qui ont montré leur attachement à ce grand service public. Elle irait également à l'encontre des intérêts de Paris qui verrait une fois de plus un service d'intérêt national et des milliers d'emplois quitter la ville.
Alors que le Gouvernement s'était engagé à geler toutes les opérations projetées par la SNCF pendant la réécriture du plan, cette décision est inacceptable.
Pourtant, les salariés et leurs organisations syndicales sont porteurs d'autres choix. Il faut les écouter. Par ailleurs, le Conseil de Paris, sur proposition des élus communistes, a voté à l'unanimité le voeu que les activités parisiennes de la SNCF soient maintenues à Paris.
Pour toutes ces raisons, elle lui demande ce qu'il compte faire pour s'opposer à cette délocalisation et garantir l'emploi et le développement du service public à Paris. (N° 460.)
A seize heures et le soir :
2. Discussion du projet de loi (n° 512, 1995-1996) relatif à l'emploi dans la fonction publique et à diverses mesures d'ordre statutaire.
Rapport (n° 44, 1996-1997) de M. François Blaizot, fait au nom de la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du règlement et d'administration générale.
Délai limite pour les inscriptions de parole dans la discussion générale : lundi 28 octobre 1996, à dix-sept heures.
Délai limite pour le dépôt des amendements : lundi 28 octobre 1996, à dix-sept heures.

Délai limite pour les inscriptions de parole

Déclaration du Gouvernement sur les affaires étrangères :
Délai limite pour les inscriptions de parole dans le débat : mercredi 30 octobre 1996, à dix-sept heures.
Personne ne demande la parole ?...
La séance est levée.

(La séance est levée à vingt-deux heures cinquante-cinq.)

Le Directeur
du service du compte rendu intégral,
DOMINIQUE PLANCHON