2. Une lacune évidente
Le 27 septembre dernier, le Premier ministre annonçait à Strasbourg, aux journées parlementaires du parti socialiste, que " le Gouvernement pense nécessaire, s'agissant des salariés actionnaires, de renforcer leur rôle, leurs moyens d'action et leur représentation ".
Or, à la lecture du projet de loi, il semble bien que cette déclaration soit restée lettre-morte.
L'actionnariat salarié est incontestablement le parent pauvre de ce texte. Seuls, deux articles 7 ( * ) lui sont consacrés sur les 27 articles du texte adopté par l'Assemblée nationale.
Votre commission ne peut ici que regretter cette lacune.
* 7 dont l'un concerne le secteur public...