1 à structure homogène 1998.
2 Cf. rapport Sénat n° 49 (1996-1997) - M. Charles Jolibois, président - M. Pierre Fauchon, rapporteur.
3
Dernières statistiques complètes
connues
4
Par ailleurs, la durée moyenne des procédures
dépasse deux ans devant les chambres civiles de la Cour de cassation.
5
Les données relatives aux stocks d'affaires en cours ne
sont pas disponibles pour les tribunaux de commerce.
6
Calculé par différence entre la date de la
condamnation définitive et celle des faits.
7
à laquelle s'ajoute la création de
cinq
emplois de magistrats inspecteurs destinée à renforcer les
effectifs de l'Inspection générale des services judiciaires.
8
La durée moyenne de ces vacances serait de l'ordre de 3
mois dans les cours d'appel et de 5 mois dans les tribunaux de grande
instance.
9
Ceux-ci ne sont compensés dans une juridiction que si le
cumul des fractions d'emplois libérés dans une même
catégorie atteint l'unité.
10
dont le nombre ne peut excéder 80 par mois
dans
la limite de 720 par an.
11
Interrogée par votre rapporteur pour avis sur les
difficultés constatées à l'occasion de l'organisation du
" procès Chalabi ", Mme Elisabeth Guigou, Garde des
Sceaux, reconnaissant que le gymnase de l'Ecole nationale pénitentiaire
n'était sans doute pas un lieu idéal pour l'organisation de ce
procès, a indiqué devant votre commission des Lois qu'elle avait
demandé la réalisation d'une étude sur les
possibilités d'accueillir de tels procès dans le cadre du palais
de justice de Paris.
12
Sauf un en raison d'une opération de relogement.
13
Cf. rapport Sénat n° 486 (1997-1998)
14
Cf. rapport Sénat n° 41 (1998-1999).
15 La poursuite de l'accroissement du nombre des admissions devrait entraîner une hausse mécanique des dépenses évaluée à 150 millions de francs pour 1999.
16
En 1998, le montant total des subventions
allouées aux CDAJ par le ministère de la justice a atteint
2,83 millions de francs.
17
A hauteur de respectivement 1,7 et 5,5 millions de francs.
18 Une provision de 5 millions de francs de crédits de paiement et de 10 millions de francs d'autorisations de programme est inscrite dans le projet de loi de finances pour 1999 à titre d'" accompagnement de la réforme de la carte judiciaire ".
19 Cf. p. 27.