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                                                                    Par M.
                                                                    Alain VASSELLE
                                                                    
                                                                    
 au nom de la commission des affaires sociales
- Sommaire
- Dossier législatif
- Tous les documents sur ce thème :
Rapport n° 60 (2001-2002) de M. Alain VASSELLE , fait au nom de la commission des affaires sociales, déposé le 7 novembre 2001
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                                                    AVANT-PROPOS
                                                    
 
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                                                    PREMIÈRE PARTIE
                                                        
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 ÉQUILIBRES FINANCIERS GÉNÉRAUX
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                                                            I. LES RECETTES DE LA CROISSANCE : UNE MANNE
CONFISQUÉE AU PROFIT DU FOREC
                                                            
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                                                                    A.  L'AUBAINE DE LA CROISSANCE
                                                                    
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                                                                            1.  Des recettes
« dopées » par la croissance
                                                                            
 
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                                                                            2. Une amélioration incontestable des soldes
de la protection sociale
                                                                            
 
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                                                                            3. Les indices d'une « déperdition
financière » au détriment de la sécurité
sociale
                                                                            
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                                                                                    a) La faible contribution du régime
général à l'amélioration de la capacité de
financement des administrations sociales au sens de la comptabilité
nationale
                                                                                    
 
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                                                                                    b) La « modestie » des
excédents dégagés par le régime
général au cours de ces dernières années
                                                                                    
 
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                                                                                    c) Le maintien, en loi de financement de la
sécurité sociale, du plafond d'emprunt du régime
général à un niveau élevé
                                                                                    
 
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                                                                                    d) Une progression des recettes de cotisations du
régime général inférieure à
l'évolution de la masse salariale à partir de l'année
2000
                                                                                    
 
 
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                                                                                    a) La faible contribution du régime
général à l'amélioration de la capacité de
financement des administrations sociales au sens de la comptabilité
nationale
                                                                                    
 
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                                                                            1.  Des recettes
« dopées » par la croissance
                                                                            
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                                                                    B. UNE MANNE FINANCIÈRE
« CONFISQUÉE » AU PROFIT DU FOREC
                                                                    
 
 
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                                                                    A.  L'AUBAINE DE LA CROISSANCE
                                                                    
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                                                            II. DES CIRCUITS DE FINANCEMENT OPAQUES ET
INSTABLES, QUI FRAGILISENT LES FONDATIONS FINANCIÈRES DE LA
SÉCURITÉ SOCIALE ET CONDUISENT, INÉVITABLEMENT, À
S'INTERROGER SUR LA SINCÉRITÉ DES COMPTES SOUMIS À
L'EXAMEN DU PARLEMENT
                                                            
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                                                                    A. DES CIRCUITS DE FINANCEMENT OPAQUES ET INSTABLES
QUI FRAGILISENT LES FONDATIONS FINANCIÈRES DE LA SÉCURITÉ
SOCIALE
                                                                    
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                                                                            1. Des circuits de financement opaques et
instables
                                                                            
 
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                                                                            2. Des circuits de financement qui fragilisent les
fondations financières de la sécurité sociale
                                                                            
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                                                                                    a) L'affection désormais aléatoire
des recettes de certains prélèvements sociaux affecte les comptes
des organismes bénéficiaires
                                                                                    
 
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                                                                                    b) L'affectation au FOREC de certains
prélèvements sociaux remet en cause leur
légitimité
                                                                                    
 
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                                                                                    c) Des transferts financiers qui compromettent
gravement le financement de certains acquis : l'exemple de la CMU et du
FSV
                                                                                    
 
 
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                                                                                    a) L'affection désormais aléatoire
des recettes de certains prélèvements sociaux affecte les comptes
des organismes bénéficiaires
                                                                                    
 
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                                                                            1. Des circuits de financement opaques et
instables
                                                                            
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                                                                    B. LES GAGNANTS ET LES PERDANTS DU PROJET DE LOI
DE FINANCEMENT DE LA SECURITE SOCIALE POUR 2002
                                                                    
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                                                                            1. Les « gagnants » des
nouvelles mesures de financement prévues en 2002 : le FOREC ,
le budget de l'Etat et, dans une moindre mesure, le F2R
                                                                            
 
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                                                                            2. Le « grand perdant » du
projet de loi de financement de la sécurité sociale pour
2002 : le régime général de sécurité
sociale
                                                                            
 
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                                                                            3. Le cas particulier du Fonds de
solidarité vieillesse (FSV)
                                                                            
 
 
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                                                                            1. Les « gagnants » des
nouvelles mesures de financement prévues en 2002 : le FOREC ,
le budget de l'Etat et, dans une moindre mesure, le F2R
                                                                            
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                                                                    C. UN EXERCICE IRRÉEL ET DÉPOURVU DE
TOUTE CRÉDIBILITÉ
                                                                    
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                                                                            1. Un exercice irréel
                                                                            
 
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                                                                            2. Un exercice dépourvu de toute
crédibilité
                                                                            
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                                                                                    a) Des principes dignes d'Orwell : la
réécriture des comptes clos de l'exercice 2000
                                                                                    
 
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                                                                                    b) Une interprétation pour le moins
originale des règles de la comptabilité en droits
constatés, qui se traduit par une conception pour le moins
particulière de la « compensation »
                                                                                    
 
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                                                                                    c) Des objectifs de dépenses qui ne
reflètent plus l'exacte réalité des dépenses de la
sécurité sociale
                                                                                    
 
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                                                                                    d) L'inscription de recettes par
anticipation
                                                                                    
 
 
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                                                                                    a) Des principes dignes d'Orwell : la
réécriture des comptes clos de l'exercice 2000
                                                                                    
 
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                                                                            1. Un exercice irréel
                                                                            
 
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                                                                    A. DES CIRCUITS DE FINANCEMENT OPAQUES ET INSTABLES
QUI FRAGILISENT LES FONDATIONS FINANCIÈRES DE LA SÉCURITÉ
SOCIALE
                                                                    
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                                                            III.  LES VÉRITABLES COMPTES DU
RÉGIME GÉNÉRAL POUR LES ANNÉES 1998 A 2002 :
UN SOLDE CUMULÉ DÉFICITAIRE DE - 6,7 MILLIARDS DE
FRANCS ET UNE « SITUATION NETTE » DÉFICITAIRE
D'ENVIRON 30 MILLIARDS DE FRANCS
                                                            
 
 
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                                                            I. LES RECETTES DE LA CROISSANCE : UNE MANNE
CONFISQUÉE AU PROFIT DU FOREC
                                                            
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                                                    DEUXIÈME PARTIE
                                                        
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 ASSURANCE MALADIE
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                                                            I. 1998-2001 : QUATRE ANNÉES DE
DÉRIVE DE L'ASSURANCE MALADIE
                                                            
 
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                                                            II. LA RÉGULATION DES SOINS DE VILLE DANS
L'IMPASSE
                                                            
 
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                                                            III. UNE POLITIQUE DU MÉDICAMENT SANS
RÉELLE COHÉRENCE
                                                            
 
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                                                            IV. DES ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ
FRAGILISÉS
                                                            
 
 
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                                                            I. 1998-2001 : QUATRE ANNÉES DE
DÉRIVE DE L'ASSURANCE MALADIE
                                                            
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                                                    TROISIÈME PARTIE
                                                        
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 ACCIDENTS DU TRAVAIL
 ET MALADIES PROFESSIONNELLES
 
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                                                    TRAVAUX DE LA COMMISSION
                                                    
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                                                            I. AUDITION DE MME ÉLISABETH GUIGOU,
MINISTRE DE L'EMPLOI ET DE LA SOLIDARITÉ
                                                            
 
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                                                            II. AUDITIONS
                                                            
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                                                                    A. AUDITION DE M. FRANÇOIS LOGEROT, PREMIER
PRÉSIDENT DE LA COUR DES COMPTES ACCOMPAGNÉ DE M. GABRIEL MIGNOT,
PRÉSIDENT DE LA 6ÈME CHAMBRE ET DE M. CLAUDE THÉLOT,
RAPPORTEUR GÉNÉRAL
                                                                    
 
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                                                                    B.  AUDITION DE M. MARC BRODIN, PRÉSIDENT,
SUR LE RAPPORT 2001 DE LA CONFÉRENCE NATIONALE DE SANTÉ
                                                                    
 
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                                                                    C. AUDITION DE M. PATRICE RACT MADOUX,
PRÉSIDENT DE LA CAISSE D'AMORTISSEMENT DE LA DETTE SOCIALE
(CADES)
                                                                    
 
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                                                                    D. AUDITION DE M. PIERRE BURBAN, PRÉSIDENT
DU CONSEIL D'ADMINISTRATION DE L'AGENCE CENTRALE DES ORGANISMES DE
SÉCURITÉ SOCIALE, ACCOMPAGNÉ DE M. YVES BOUDET, DIRECTEUR
DE LA GESTION FINANCIÈRE (ACOSS)
                                                                    
 
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                                                                    E. AUDITION DE M. JEAN-MARIE SPAETH,
PRÉSIDENT DU CONSEIL D'ADMINISTRATION DE LA CAISSE NATIONALE D'ASSURANCE
MALADIE DES TRAVAILLEURS SALARIÉS
                                                                    
 
 
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                                                                    A. AUDITION DE M. FRANÇOIS LOGEROT, PREMIER
PRÉSIDENT DE LA COUR DES COMPTES ACCOMPAGNÉ DE M. GABRIEL MIGNOT,
PRÉSIDENT DE LA 6ÈME CHAMBRE ET DE M. CLAUDE THÉLOT,
RAPPORTEUR GÉNÉRAL
                                                                    
 
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                                                            I. AUDITION DE MME ÉLISABETH GUIGOU,
MINISTRE DE L'EMPLOI ET DE LA SOLIDARITÉ
                                                            
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                                                    ANNEXE
                                                        
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 RÉPONSE DE LA COUR DES COMPTES
 AU QUESTIONNAIRE DE LA COMMISSION
 
 
                                                             
                                                             
                                                             
                                                             
                                                             
                                                             
                                                            