1
La comparaison se limite aux
crédits
inscrits aux titre IV et VI puisque ceux du titre III ne sont plus
individualisables.
2
Dont 5.362 millions de francs de subvention d'équilibre et
allocation aux adultes handicapés.
3
Subvention d'équilibre au BAPSA et allocation aux adultes
handicapés.
4
Cotisations, subvention d'équilibre, et AAH non comprises.
5
Fonds forestier national (FFN) supprimé à partir de
2000, Fonds de développement des adductions d'eau (FNDAE) et Fonds
national des haras et activités hippiques.
6
Pour éviter les doubles comptes, on soustrait
également la subvention de l'Etat et le remboursement de l'AAH au BAPSA.
7
Article 4 de la loi n° 99-574 du 9 juillet 1999 d'orientation
agricole.
8
Par exemple : conversion à l'agriculture biologique,
développement de l'agro-tourisme, etc.
9
Par exemple : entretien de zones laissées à
l'abandon, gestion raisonnée de l'apport d'engrais, de produits
phytosanitaires ou d'irrigation, etc.
10
Chapitre 44-84 (nouveau).
11
Produit : 310 millions de francs.
12
Produit : 32 millions de francs.
13
Loi n° 98-1267 du 30 décembre 1998.
14
Loi n° 99-575 du 9 juillet 1999.
15
Article 4 bis du projet de loi de finances pour 2000.
Safer : sociétés d'aménagement foncier et
d'établissement rural.
16
Article 24 ter du projet de loi de finances pour 2000.
17
Amendement n° 101 portant article additionnel après
l'article 38, séance du 6 avril 1999, J.O. Sénat, p. 2117.
18
Ce chiffre ne tient pas compte des éventuels recrutements
postérieurs à la création de l'entreprise.
19
En 1999, il avait affiché une hausse de 108,3 % et de 14,8
% hors effet TGAP.
20
7 en provenance du ministère de l'équipement et 63
en provenance du ministère de l'économie, des finances et de
l'industrie.
21
50 en administration centrale et 70 en services
déconcentrés.
22
Titulaires, contractuels et ouvriers.
23
L'inspection des installations classées est actuellement
assurée par plusieurs services : les directions régionales
de l'industrie, de la recherche et de l'environnement (DRIRE), les directions
des services vétérinaires (DSV) au sein des directions
départementales de l'agriculture et de la forêt (DDAF) pour les
établissements agricoles et certains établissements
agro-alimentaires, les DDAF et les directions départementales de
l'action sanitaire et sociale (DDASS) pour les décharges d'ordures
ménagères.
24
Il s'agit de l'ensemble des crédits retracés dans
l'agrégat 3.
25
Cette répartition est fixée pour 2/3 en fonction de
la part de chaque bassin dans le montant total des redevances autorisées
pendant la durée du programme quinquennal d'intervention des agences et
pour 1/3 en fonction de la population recensée dans le bassin.
26
Créé par l'article 33 de la loi du 25 juin 1999
d'orientation pour l'aménagement et le développement durable du
territoire.
27
La première étape de la constitution de ce
réseau, c'est à dire l'établissement de la liste nationale
des sites d'importance communautaire, est en cours d'achèvement. Les
propositions françaises concernent 1.059 sites représentant
26.772 km
2
soit 4,9 % du territoire métropolitain et 4.700
km
2
de zones maritimes. La seconde étape qui consiste en
l'élaboration des documents d'objectifs pour chaque site est
engagée.
28
7 parcs nationaux et 3 projets de parcs supplémentaires
(Corse, Guyane et Iroise).
29
On en compte aujourd'hui 146 et 31 projets.
30
Voir aussi l'avis n°68 de notre collègue Jacques
Oudin, fait au nom de la commission des finances du Sénat sur le projet
de loi de financement de la sécurité sociale pour 2000.
31
En 1998 est mis en oeuvre un nouveau barème, établi
en 1996 mais qui n'avait pas pu être voté par le conseil
d'administration faute de président. Ce barème de janvier 1998 a
été réexaminé dès l'été
suivant car l'augmentation des dossiers s'est faite sentir dès juin
1998, les décisions sont intervenues l'année suivante, en 1999.
32
Il s'agit de la problématique du " hors-bilan ",
appelé également " dette publique invisible "
33
Il ne s'agit que d'une partie des garanties potentiellement
à la charge de l'Etat.
34
Il s'agit à la fois des remboursements d'impôts
d'Etat et de la prise en charge des dégrèvements d'impôts
locaux résultant de mesures législatives, de décisions
individuelles ou d'admissions en non-valeur
35
Rapport d'information, 27 janvier 1999, page 160,
11
ème
législature
36
Journal Officiel du 29 juillet 1999, Questions Sénat, page
2576
37
Réseau ferré de France
38
Établissement public de financement et de restructuration
39
Consortium de réalisation
40
Organismes divers d'administration centrale
41
Le logiciel Ensemble est un outil informatique de suivi et
d'analyse de l'utilisation des crédits de titre IV par les
directions régionales des affaires culturelles. L'application a
été installée et mise en service en région à
compter de l'exercice 1994 et permet une observation synthétique et en
temps réel de toutes les étapes de gestion du titre IV.
Toutefois, de conception ancienne, l'application Ensemble fait actuellement
l'objet d'une refonte globale.
Un nouvel outil, nommé "Quadrille", est en effet en cours
d'élaboration pour une mise en service d'ici 2002. Il s'appuie pour
l'essentiel sur quatre fonctionnalités : la programmation
budgétaire en début d'année, l'instruction des dossiers de
demandes de subventions, le suivi de l'exécution comptable, l'analyse de
la dépense et la consolidation nationale. Il s'agit donc tout à
la fois d'une aide à la gestion pour les directions régionales
des affaires culturelles et d'une base de gestion analytique en consolidation
à l'échelon national.
42
Néanmoins, les tendances d'évolution des
différentes catégories de réductions sont
divergentes :
La part des dégrèvements (qui visent à apporter des
corrections d'assiette) est en légère diminution (6,89 % en 1998
contre 7,99 % en 1994).
Les remises gracieuses sont sur l'ensemble du territoire en augmentation
régulière. Leur montant global est passé de 0,94 %
à 1,25 % des prises en charge brutes.
Cette évolution peut être corrélée au contexte
socio-économique, notamment aux mesures ministérielles
arrêtées en faveur des redevables demandeurs d'emploi.
43
Dont une partie a été mentionnée plus haut
lors de la présentation du regroupement des moyens ministériels,
soit 784,5 millions de francs de crédits.
44
Hors juridictions financières et non titulaires
45
Hors réintégration de certains crédits.
46
Rapport de M. Boisson et de M. Milleron.
47
Ce qui explique le regroupement des crédits de la DGI
concernés par le contrat dans un chapitre à part entière
qui apparaît un peu comme un " fourre-tout " dérogatoire
à la logique même du chapitre budgétaire.
48
Les seules subventions du Commissariat à l'énergie
atomique, de Charbonnages de France et de la Poste totalisent la moitié
du budget de l'industrie.
49
Le transfert dans la LFI 1999 des dépenses de personnel et
de fonctionnement du bleu " industrie " vers le bleu " services
communs et finances " avait vidé l'agrégat n° 1 de
son contenu.
50
Voire les articles, lorsque l'intitulé du chapitre n'est
pas significatif.
51
" Sauver la Poste : est-il encore temps pour
décider ? ",
rapport d'information n° 463,
Sénat 1998/1999.
52
Cette transposition a été effectuée par voie
d'amendement à la loi n° 99-533 d'orientation pour
l'aménagement et le développement durables du territoire du 25
juin 1999.
53
Pour financer ses obligations de service universel, le texte
attribue à La Poste comme services réservés les envois de
correspondance d'un poids inférieur à 350 grammes et dont le
prix est inférieur à 5 fois le tarif de base.
54
EDF estime aujourd'hui possible de porter la durée de vie
des centrales de 30 à 40 ans, ce qui différerait jusqu'à
2010 la question de leur remplacement.
55
Comme le rappelle Pierre Boisson qui a présidé en
1998 les travaux du Commissariat Général du Plan sur
l'énergie en 2010-2020, le gaz comporte deux contraintes fortes :
effet de serre et dépendance à l'égard des pays instables.
A l'inverse, le nucléaire est très reposant, estime Pierre
Boisson, parce que sa structure de prix est stable.
56
La France s'est engagée lors du sommet de Kyoto à
ramener le niveau des émission de CO
2
en 2010 à leur
niveau de 1990.
57
Henri Revol évoque dans son rapport l'enquête
qu'aurait récemment entamé la Commission sur la position
dominante qu'occuperait EDF, selon ses détracteurs, sur le marché
français.
58
Prélèvement sur l'excédent de la taxe d'aide
au commerce et à l'artisanat créée par la loi 89-1008 du
31 décembre 1989
59
PECO : pays d'Europe centrale et orientale
60
Il s'agit du TICR : taux d'intérêt commercial
de référence, proche des taux fixes à moyen/long terme de
marché
61
L'accueil des étudiants étrangers en France :
enjeu commercial ou priorité éducative, rapport d'information
n° 1806 du député Alain Claeys
62
" Bibliothèques universitaires : le temps des
mutations " Rapport n° 59,session 1998-1999. Jean-Philippe
Lachenaud, Sénateur - Commission des finances du Sénat.
63
Etat de la recherche et du développement technologique
64
hors défense
65
hors industrie
66
55% de ses dépenses seront consacrés aux
réseaux technologiques et 300 millions de francs, sur cinq ans, au
RNRT (réseau national de la recherche en
télécommunications) grand programme fédérateur
interministériel (industries, télécommunications,
recherche)
67
il s'agit, en fait, des conséquences d'un
rééchelonnement de la dette du CNES vis-à-vis de l'ESA
68
dans le cadre du plan de titularisation des contractuels locaux
dans les TOM
69
Association pour la formation professionnelle des adultes
70
Agence nationale pour l'emploi
71
L'objectif est d'offrir un nouveau départ aux jeunes
chômeurs et adultes menacés d'exclusion, ce qui
représenterait à l'horizon 2002, et à l'issue de la
montée en charge, 1.800.000 personnes
72
Trajet d'accès à l'emploi
73
A compter du 1
er
janvier 1998, en application de
l'article 114 de la loi de finances pour 1998, les emplois villes ont
été supprimés
74
SIFE
75
Leur nombre est en diminution depuis 1996, notamment du fait de
la mise en place de l'allocation de remplacement pour l'emploi (ARPE) ; il
convient de relever que le dispositif de l'ARPE ne donne pas lieu à
inscription budgétaire car il résulte d'un accord entre
partenaires sociaux
76
Dossier de presse de présentation du PLF pour 2000,
rubrique " Dépenses ", page 29
77
Sur la base d'un coût annuel unitaire de 95.010 francs.
78
Le coût pour le budget de l'Etat des aides à la
réduction du temps de travail sera donc, au total, de 6,8 milliards de
francs en 2000.
79
Direction de l'animation de la recherche et des études
statistiques
80
Journal officiel des débats
, Assemblée
nationale, 2
ème
séance du 9 novembre 1999, page 9122,
1
ère
colonne.
81
" L'enquête de la Cour a notamment fait ressortir
l'insuffisance du contrôle initial et trimestriel des ressources. Elle a
montré que les caisses d'allocation familiales (CAF) n'étaient
pas en mesure de vérifier de façon systématique
l'existence éventuelle et le montant d'autres prestations sociales
gérées soit par elles-mêmes (allocation aux adultes
handicapés, allocation de parent isolé ...), soit par d'autres
organismes de sécurité sociale ( pensions d'invalidité et
avantages de vieillesse ...) soit par les institutions chargées de
l'indemnisation du chômage, de la rémunération des contrats
aidés ou de celles des stages de la formation professionnelle.
Dans ces conditions, il est apparu que le défaut de
déclaration ou la sous-déclaration de ces ressources annexes
était relativement fréquente, comme l'ont confirmé
d'ailleurs les investigations menées par une commission conjointe des
inspections générales des finances et des affaires sociales, avec
analyse de plus de 6.000 dossiers de RMI dans sept CAF : elle concernerait une
proportion élevée des titulaires de ces prestations sociales et
10 % du nombre total des allocataires. Elle représenterait 3 à 5
% des dépenses de l'allocation de RMI, soit une charge
supplémentaire de 600 millions à un milliard de francs. "
82
Votre rapporteur spécial rappelle qu'il en va de
même pour la sincérité du projet de loi de financement de
la sécurité sociale pour 2000. De plus, il souligne que ces
délais de paiement par l'Etat engendrent des frais financiers pour la
sécurité sociale et font peser une forte incertitude sur les
comptes sociaux.
83
Quelques discordances sur ce point dans les chiffres
communiqués à votre rapporteur doivent être
regrettées.
84
Conformément à la circulaire de la direction du
budget du 19 avril 1999, les chapitres de fonctionnement des services
centraux "34-97 " et des services
déconcentrés " 34-98 " ont été
fusionnés dans un chapitre " 34-98 " nouveau " moyens de
fonctionnement des services " : ce nouveau chapitre comporte trois
articles : article 10 " Administration centrale ", article 20
" Service d'étude et d'aménagement touristique de la
montagne ", article 30 " Délégations régionales
au tourisme ".
85
Et accessoirement aux moyens consacrés aux cultes (en
Alsace-Lorraine), aux contentieux, et aux élections...
86
Doubs, Finistère, Isère, Seine-Maritime
87
programmes CHEOPS (circulation hiérarchisée des
enregistrements de police sécurisés), TESA (équipements
des terminaux embarqués dans les véhicules), FAED (fichier
automatisé des empreintes digitales) STIC (système de traitement
des infractions constatées)
88
grâce à une globalisation et à une
déconcentration de la gestion des crédits ainsi qu'à
l'utilisation de marges de manoeuvre (repyramidages de certains corps,
diminutions structurelles de certaines dépenses, etc...)
89
Cet objectif a été insuffisamment atteint, en ce
qui concerne le recrutement des adjoints de sécurité, mais mieux
s'agissant de celui des agents locaux de médiation sociale, dont
près de 30 % sont d'origine étrangère et 50 % n'ont pas
été au lycée.
90
3.000 CRS et gendarmes mobiles doivent être ainsi
" fixés " dans les zones sensibles.
91
L'écart entre le montant des crédits dans le projet
de loi de finances et dans la loi de finances initiale vient essentiellement de
la majoration de 597 millions de francs du chapitre 67-51
"
subventions pour travaux divers d'intérêt
local
" au cours de la discussion parlementaire.
92
Pour la première fois dans le PLF 2000, les crédits
de la DGE des communes et des départements sont regroupés au sein
d'un même chapitre 67-52.
93
La différence de 906 millions de francs entre les deux
montants est importante car si l'indice de la DGF pour 2000 avait
été appliqué à la DGF du PLF 1999, son montant
aurait été de 111,790 milliards de francs au lieu de 110,865
milliards de francs, soit un écart de 925 millions de francs.
94
Si, au terme de la discussion parlementaire, le montant de
l'abondement en faveur du recensement était porté à 700
millions de francs, comme le Premier ministre en a évoqué la
possibilité, le montant e la DGF serait alors de 111,886 millions de
francs, soit une progression de 2,75 % par rapport à la loi de finances
initiale (révisée) pour 1999.
95
En réalité, ce montant aurait été un
peu plus élevé car le texte du Sénat prévoyait
également de prendre en compte 33 % du taux de croissance du PIB et non
20 % comme le texte du gouvernement.
96
106,216 milliards de francs en comptant la DCTP qui, si elle
n'était pas devenue la variable d'ajustement de l'enveloppe
normée, figurerait également parmi les compensations.
97
Ce montant n'inclut pas la baisse des DMTO au profit des
départements décidée par la loi de finances pour 1999,
dont le coût pour l'Etat en 2000 s'établit à 3,5 milliards
de francs.
98
Les conséquences de la prise en compte des
résultats du recensement sur les autres dotations feront l'objet d'un
examen plus approfondi lors de l'examen du projet de loi qui sera
discuté parallèlement à la loi de finances.
99
La loi du 12 juillet 1999 sur le renforcement et la
simplification de la coopération intercommunale a
précarisé un peu plus la DCTP en prévoyant que cette
dotation supporterait le coût du financement des communautés
d'agglomération dans l'éventualité où les
crédits prévus à cet effet s'avéreraient
insuffisants. Le Sénat a obtenu que cette possibilité soit
limitée aux seules années 2000 et 2001.
100
Ainsi, la loi de finances rectificative pour 1999 majorera de
248 millions de francs la compensation versée aux départementaux
de manière en prendre en compte l'accroissement des bases en 1998.
101
Nom donné aux emplois-jeunes créés au
ministère de la justice
102
la première catégorie correspond strictement
à la constatation de la non occupation d'un poste budgétaire. La
seconde prend en compte l'effectif réel de la juridiction,
déduction faite des divers congés, mises à disposition et
décharges d'activité.
103
CEPII : Centre d'études prospectives et
d'information internationale
CSERC : Conseil supérieur de l'emploi, des revenus et des
coûts
104
CEPREMAP : Centre d'études prospectives
d'économie mathématiques appliquée à la
planification
CREDOC : Centre de recherche pour l'étude et l'observation des
conditions de vie
IRES : Institut de recherches économiques et sociales
OFCE : Observatoire français des conjonctures économiques
105
Y compris les produits financiers.
106
La masse salariale hors charges sociales augmenterait plus
vite : + 4,2 %.
107
Hors crédits fournisseurs et divers
108
A l'exception de 40 millions de francs correspondant aux
services votés.
109
Outre les crédits afférents à la
participation à des dépenses communes aux divers régimes
de protection sociale (régime des étudiants, régime des
praticiens et auxiliaires médicaux conventionnés).
110
88,180 milliards de francs en 1998 et 89,162 milliards de francs
en 1999.
111
Article 48 de la loi n° 98-1266 du 30 décembre 1998
de finances pour 1999.
112
Taxe sur la valeur ajoutée.
113
Contribution sociale de solidarité des
sociétés.
114
Caisse nationale des allocations familiales.
115
Allocation aux adultes handicapés.
116
Fonds de solidarité vieillesse.
117
Fonds spécial d'invalidité.
118
Loi n° 73-1150 du 27 décembre 1973 de finances pour
1974.
119
Contribution aux assurances sociales des étudiants et au
régime d'assurance obligatoire des praticiens et auxiliaires
médicaux conventionnés (art. L. 381-8 et L. 722-4 du code de la
sécurité sociale).
120
Cf. rapport de M. Jacques Oudin, au nom de la Commission des
finances du Sénat, avis n° 382 sur le projet de loi portant
création d'une couverture maladie universelle, 1998-1999.
121
Rapport de la Commission des affaires économiques du
Sénat, M. Souplet, sur le projet de loi d'orientation agricole, n°
129, 1998-1999, p. 308.
122
Loi du 18 janvier 1994 : attribution de points de retraite
proportionnelle gratuits ; loi de modernisation de l'agriculture du
1
er
février 1995 : alignement des modalités de
calcul et de services des pensions de réversion sur celles en vigueur
dans le régime général ; possibilité de
cumuler droits propres à une pension de retraite et pension de
réversion ; loi de finances pour 1997 du 30 décembre
1996 : majoration gratuite de points de retraite proportionnelle des
chefs d'exploitation ; majoration de la retraite forfaitaire des conjoints
et des aides familiaux ; loi de finances pour 1998 du 30 décembre
1997 : nouvelle majoration de la retraite forfaitaire ; loi de
finances pour 1999 du 30 décembre 1998 : revalorisation des plus
petites retraites ; loi d'orientation agricole 9 juillet 1999 :
attribution de points gratuite.
123
. Dont 900 millions de francs versés au budget civil de
recherche et de développement.
124
. Dont 1 500 millions de francs versés au budget
civil de recherche et de développement.
125
Ainsi, la dimension immobilière du FARIF est
quelque peu écornée à l'occasion du transfert sur budget
général au profit des interventions dans le domaine des
transports.
126
Rapport qui, toutefois, ne recommandait nullement la suppression
des taxes affectées au FFN.
127
Cette répartition est fixée pour 2/3 en fonction
de la part de chaque bassin dans le montant total des redevances
autorisées pendant la durée du programme quinquennal
d'intervention des agences et pour 1/3 en fonction de la population
recensée dans le bassin.
128
Que rétrospectivement il faut estimer heureux compte tenu
du sort de la TGAP.
129
Soit l'écart constaté pour la Cour entre les
ressources de la SGGP et ses charges prévisibles.
130
En crédits de paiement.
131
Ce phénomène avait permis une annulation de
crédits de 2.840 millions de francs dans l'arrêté du
28 juin 1995 accompagnant la première loi de finances rectificative
pour 1995.
La seconde loi de finances rectificative pour 1995 avait comporté
à nouveau une annulation de crédits de 3,7 milliards de
francs.
Projet de loi de finances pour 2000 : analyse synthétique des crédits
Rapports législatifs
Rapport général n° 89 (1999-2000), tome IV, déposé le