Les français et les actions : pour une relation de confiance au service de la croissance

Rapport d'information n° 367 (2002-2003) de M. Joël BOURDIN , fait au nom de la délégation du Sénat pour la planification, déposé le 25 juin 2003

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• INTRODUCTION
  
• PREMIÈRE PARTIE :
  
  LA PLACE DES ACTIONS DANS LE PATRIMOINE DES MÉNAGES
  
  
  • I. LES ACTIONS OCCUPENT UNE PLACE CROISSANTE DANS LES PLACEMENTS DES FRANÇAIS
    
    • A. L'ÉPARGNE FINANCIÈRE TEND À PROGRESSER DANS LE TOTAL DE L'ÉPARGNE DES MÉNAGES
      
    • B. LA MONTÉE DE LA PART DES ACTIONS DANS LE PATRIMOINE FINANCIER DES MÉNAGES
      
    • C. LE DÉCLIN RELATIF DU NON COTÉ ET DE LA DÉTENTION DIRECTE
      
      • 1. Déclin du non coté
        
      • 2. Repli de la détention directe
        
  • II. COMPARAISONS INTERNATIONALES : LA FRANCE DANS LA MOYENNE EUROPÉENNE, ET EN RETRAIT PAR RAPPORT AUX PAYS ANGLO-SAXONS
    
    • A. LA FRANCE DANS LA MOYENNE EUROPÉENNE
      
    • B. EN RETRAIT PAR RAPPORT AUX PAYS ANGLO-SAXONS
      
    • C. LA DÉTENTION INDIRECTE GAGNE DU TERRAIN DANS TOUS LES PAYS DÉVELOPPÉS
      
    • D. DIFFUSION DE LA DÉTENTION D'ACTIONS, MAIS PERSISTANCE DE FORTES INÉGALITÉS
      
      • 1. Diffusion graduelle de la détention d'actions parmi les ménages
        
      • 2. Une très forte concentration de la détention d'actions
        
    • E. LE PROFIL DES DÉTENTEURS D'ACTIONS
      
      • 1. Détention d'actions et niveau d'éducation
        
      • 2. Détention d'actions et richesse financière
        
      • 3. Détention d'actions et classes d'âges
        
      • 4. Détention d'actions et catégories professionnelles
        
• DEUXIÈME PARTIE :
  
  POUR UN DÉVELOPPEMENT DE L'ÉPARGNE EN ACTIONS
  
  • I. UN HAUT NIVEAU DE DÉTENTION D'ACTIONS PAR LES MÉNAGES EST UN ATOUT POUR L'ÉCONOMIE NATIONALE
    
    • A. LES PLACEMENTS EN ACTIONS SONT CEUX QUI OFFRENT, À LONG TERME, LES RENDEMENTS LES PLUS ÉLEVÉS
      
      • 1. Rendements comparés des actions, de l'or et des obligations
        
      • 2. Les ménages auraient intérêt à investir une partie de leur épargne en actions
        
    • B. LES PLACEMENTS EN ACTIONS ORIENTENT L'ÉPARGNE DES MÉNAGES VERS LE FINANCEMENT DES ENTREPRISES
      
    • C. LE DÉVELOPPEMENT DES MARCHÉS D'ACTIONS PEUT CEPENDANT ETRE FACTEUR D'INSTABILITÉ
      
      • 1. Conséquences de la montée en puissance des investisseurs institutionnels sur la gestion des entreprises
        
      • 2. Vers une économie plus cyclique ?
        
  • II. LES POLITIQUES PUBLIQUES SUSCEPTIBLES DE SOUTENIR L'ACTIONNARIAT DES MÉNAGES
    
    • A. POUR UNE FISCALITÉ QUI ENCOURAGE LA PRISE DE RISQUE
      
      • 1. Les revenus perçus au titre des placements en actions semblent plus fortement taxés que d'autres sources de revenu moins risquées
        
        • a) L'imposition des dividendes
          
        • b) L'imposition des plus-values
          
        • c) Comparaison de la fiscalité des produits d'épargne
          
      • 2. Ce tableau général doit être nuancé par la prise en compte de nombreux régimes dérogatoires
        
        • a) Le plan d'épargne en actions
          
        • b) L'assurance-vie
          
        • c) Autres régimes dérogatoires
          
    • B. LE LEVIER DES PRIVATISATIONS
      
      • 1. Favoriser l'actionnariat des ménages : un objectif fort du législateur
        
      • 2. Le réel succès des opérations de privatisations auprès du grand public
        
      • 3. Des résultats plus mitigés à moyen terme
        
    • C. LE RÔLE CLÉ DE L'ÉPARGNE SALARIALE
      
      • 1. Les plans d'épargne permettent d'orienter l'épargne salariale vers les actions
        
        • a) Le plan d'épargne d'entreprise
          
        • b) Le plan d'épargne interentreprises
          
        • c) Le plan partenarial d'épargne salariale volontaire
          
      • 2. Avantages fiscaux attachés aux plans d'épargne
        
        • a) PEE et PEI
          
        • b) Particularités du PPESV
          
      • 3. Le cas des stock-options
        
        • a) Mécanisme des plans d'options sur actions
          
        • b) Une fiscalité complexe
          
          • (1) Pour l'entreprise émettrice :
            
          • (2) Pour les bénéficiaires des options :
            
      • 4. Une part croissante de l'épargne salariale s'investit en actions, notamment en actions émises par l'entreprise employeur
        
    • D. INVESTIR DANS LES JEUNES ENTREPRISES INNOVANTES
      
      • 1. Les acteurs du capital-investissement
        
        • a) Les sociétés de capital-risque
          
        • b) Les fonds communs de placement à risque (FCPR)
          
        • c) Les fonds communs de placement dans l'innovation (FCPI)
          
      • 2. Un essor récent du capital-investissement en France
        
      • 3. Une comparaison avec d'autres pays développés suggère cependant que le capital-investissement conserve en France une importante marge de progression
        
      • 4. La proposition de créer des fonds d'investissement de proximité
        
• TROISIÈME PARTIE
  
  DÉVELOPPER L'ÉPARGNE EN ACTIONS
  EN VUE DE LA RETRAITE
  
  • I. DES DISPOSITIFS DE RETRAITE PAR CAPITALISATION EXISTENT DÉJÀ DANS NOTRE PAYS, MAIS NE COUVRENT QUE CERTAINES CATÉGORIES DE LA POPULATION
    
    • A. L'UTILITÉ D'UN COMPLÉMENT DE RETRAITE PAR CAPITALISATION
      
    • B. LA RETRAITE PAR CAPITALISATION AUJOURD'HUI : UN PAYSAGE TRÈS FRAGMENTÉ
      
      • 1. Les contrats de retraite d'entreprise
        
      • 2. Les « contrats Madelin »
        
      • 3. Les régimes de fonctionnaires : Préfon et CREF
        
        • a) La Préfon
          
        • b) Le CREF (complément de retraite de la fonction publique)
          
    • C. UN ACCÈS INÉGALITAIRE À L'ÉPARGNE RETRAITE PAR CAPITALISATION
      
  • II. LES PROPOSITIONS EN VUE DE CRÉER UN COMPLÉMENT DE RETRAITE PAR CAPITALISATION
    
    • A. LE PROJET DU GOUVERNEMENT
      
      • 1. L'aménagement du PPESV
        
      • 2. L'annonce de la création de plans d'épargne retraite
        
    • B. QUELQUES PROPOSITIONS D'ORIGINE PARLEMENTAIRE
      
      • 1. Le dispositif de la loi Thomas
        
      • 2. La proposition de la Commission des affaires sociales du Sénat
        
      • 3. La proposition de comptes épargne retraite
        
    • C. UN MODÈLE NATIONAL INTÉRESSANT : L'EXPÉRIENCE DANOISE
      
  • III. LA RÉGULATION DES « FONDS DE PENSION A LA FRANÇAISE » DOIT SÉCURISER LES ÉPARGNANTS ET LES ENTREPRISES
    
    • A. LES RISQUES ASSOCIÉS AU DÉVELOPPEMENT DES FONDS DE PENSION
      
      • 1. Du côté des entreprises : le risque du « court termisme »
        
      • 2. Du côté des épargnants : le risque de perte de son capital
        
    • B. PRINCIPES DEVANT GUIDER LA RÉGULATION DES « FONDS DE PENSION À LA FRANÇAISE »
      
      • 1. Allonger la durée des mandats de gestion
        
      • 2. Imposer une diversification des placements
        
      • 3. Garantir la transparence de l'information pour l'épargnant
        
      • 4. Assurer la stabilité des versements pour les fonds à prestations définies
        
      • 5. Assurer la portabilité des plans de retraite capitalisés entre entreprises
        
• CONCLUSION
  
• PRINCIPALES OBSERVATIONS
  ET RECOMMANDATIONS DU RAPPORT
  
• ANNEXES
  
• ANNEXE N° 1 :
  
  
  COMPTE RENDU DE LA RÉUNION DE LA DÉLÉGATION DU 1ER AVRIL 2003 (AUDITIONS)
  
• ANNEXE N° 2 :
  
  
  EXAMEN DU RAPPORT PAR LA DÉLÉGATION
  
• ANNEXE N° 3 :
  
  
  
  
  ÉTUDE DU BIPE, « RADIOGRAPHIE DU PATRIMOINE FINANCIER DES MÉNAGES RÉSIDANT EN FRANCE », PAR A. BABEAU ET M. BOUTILLIER
  
• RÉSUMÉ-CONCLUSION
  
  • UNE MÉTHODE ORIGINALE
    
  • UN INTÉRÊT ÉVIDENT
    
  • DES RÉSULTATS D'UNE GRANDE RICHESSE
    
• PRÉAMBULE
  
  • RECHERCHE SUR LES SUPPORTS FINALS DE L'ÉPARGNE DES MÉNAGES
    
• LA NOMENCLATURE RETENUE ET LE CADRE MÉTHODOLOGIQUE DE L'ANALYSE
  
  • I. LES CONVENTIONS DE L'ANALYSE
    
    • A. LES FONDS PROPRES
      
    • B. LES PRODUITS DE TAUX
      
    • C. CRÉDITS ET CRÉANCES DIVERSES SUR LES AGENTS INTERNES NON FINANCIERS ET SUR LE
      « RESTE DU MONDE »
      
    • D. LES INTERMÉDIATIONS
      
  • II. LA SIGNIFICATION DE LA RECHERCHE DES « SUPPORTS FINALS »
    
• LES PRINCIPAUX RÉSULTATS OBTENUS EN CE QUI CONCERNE LES « SUPPORTS FINALS » DES FLUX ET DES ENCOURS SUR LA PÉRIODE 1995-2001
  
  • I. LES SUPPORTS FINALS DES FLUX DE PLACEMENTS FINANCIERS DES MÉNAGES
    
    • A. L'AFFECTATION « INITIALE » DES FLUX DE PLACEMENTS FINANCIERS DES MÉNAGES
      
    • B. L'AFFECTATION INTERMÉDIAIRE DES FLUX DE PLACEMENTS FINANCIERS DES MÉNAGES
      
    • C. L'AFFECTATION FINALE DES FLUX DE PLACEMENTS FINANCIERS DES MÉNAGES
      
    • D. DE L'AFFECTATION INITIALE À L'AFFECTATION FINALE SUR L'ENSEMBLE DE LA PÉRIODE
      
  • II. LES « SUPPORTS FINALS » DES ENCOURS D'ACTIFS FINANCIERS DES MÉNAGES
    
    • A. L'AFFECTATION « INITIALE » DES ENCOURS D'ACTIFS FINANCIERS DES MÉNAGES
      
    • B. L'AFFECTATION « INTERMÉDIAIRE » DES ENCOURS D'ACTIFS FINANCIERS DES MÉNAGES
      
    • C. L'AFFECTATION FINALE DES ENCOURS D'ACTIFS FINANCIERS DES MÉNAGES
      
      • 1. Une très forte montée des fonds propres dans l'ensemble de l'économie entre 1995 et 2000, déjà un fort reflux en 2001
        
      • 2. Une part importante de prêts aux agents non financiers, mais orientée à la baisse, cependant que la part des produits de taux a décru de 1998 à 2000
        
    • D. LES ANNÉES 2000 ET 2001, DE L'AFFECTATION INITIALE À L'AFFECTATION FINALE
      
• ANNEXES : LES RÉSULTATS DE L'ANALYSE EN NOMENCLATURE DÉTAILLÉE
  
  • I. TABLEAUX D'AFFECTATION DES FLUX
    
  • II. TABLEAUX D'AFFECTATION DES ENCOURS
    
• ANNEXE N° 4 :
  
  
  
  
  ETUDE DU BIPE, « LES COMPORTEMENTS FINANCIERS DES MÉNAGES RÉSIDANT EN FRANCE, 1995-2001 », PAR A. BABEAU ET U. CLERWALL
  
• RÉSUMÉ-CONCLUSION
  
• INTRODUCTION
  
• L'ENVIRONNEMENT DE L'ANALYSE
  
  • I. IMPORTANCE ET COMPOSITION DES FLUX DE PLACEMENTS FINANCIERS
    
    • A. LE TABLEAU DE FINANCEMENT DES MÉNAGES DE 1995 À 2001
      
    • B. L'ÉVOLUTION DE LA COMPOSITION DES FLUX DE PLACEMENTS DANS LA NOMENCLATURE PUBLIÉE AU COURS DE LA PÉRIODE ÉTUDIÉE
      
  • II. CROISSANCE ET COMPOSITION DU PATRIMOINE FINANCIER
    
    • A. LES FACTEURS DE CROISSANCE DU PATRIMOINE FINANCIER SUR LA PÉRIODE (VOLUME, RÉÉVALUATION, AUTRES CHANGEMENTS EN VOLUME)
      
    • B. L'ÉVOLUTION DE LA COMPOSITION DU PATRIMOINE FINANCIER (RÔLE DES VOLUMES ET DES PRIX)
      
• LA CONSTRUCTION D'UNE NOMENCLATURE « IDÉALE »
  
  • I. LES OBJECTIFS DE LA NOMENCLATURE « IDÉALE »
    
    • A. LES OBJECTIFS PROPOSÉS
      
    • B. LA NOMENCLATURE UTILISÉE
      
  • II. LES RÉSULTATS OBTENUS AVEC LA NOMENCLATURE PROPOSÉE
    
    • A. PLACEMENTS NE COMPORTANT PAS DE RISQUE DU POINT DE VUE DE L'ÉPARGNANT
      
    • B. PLACEMENTS COMPORTANT UNE PART DE RISQUE DU POINT DE VUE DE L'ÉPARGNANT
      
• ANNEXE N° 5 :
  
  
  
  
  ÉTUDE DU BIPE, « LA MONTÉE EN PUISSANCE DES INVESTISSEURS INSTITUTIONNELS :
  IMPLICATIONS RÉGLEMENTAIRES »,
  PAR C. BLESSON ET U. CLERWALL
  
• RÉSUMÉ-CONCLUSION
  
  • CONTEXTE, MÉTHODE ET OBJECTIFS
    
  • RÉSUMÉ DE L'ÉTUDE
    
  • QUELLES RÉGULATIONS POUR LE CAS FRANÇAIS ?
    
• LA MONTÉE EN PUISSANCE DES ZINZINS
  
  • I. L'EXEMPLE DES OPCVM :
    UN DÉCOLLAGE IMPRESSIONNANT EN EUROPE
    
  • II. LES RAISONS PRINCIPALES DE LA MONTÉE DES ZINZINS
    
• QUI SONT LES ZINZINS ?
  UNE TYPOLOGIE DES ACTEURS
  
  • I. LES ZINZINS SELON LA DIVERSITÉ DES STRATÉGIES DE PLACEMENTS ET LA RÉPARTITION DU RISQUE
    
    • A. LES ORGANISMES DE PLACEMENT COLLECTIF EN VALEURS MOBILIÈRES - OPCVM
      
    • B. LES FONDS DE PENSION À COTISATIONS DÉFINIES OU À PRESTATIONS DÉFINIES
      
    • C. LES COMPAGNIES D'ASSURANCE ET PARTICULIÈREMENT LES ASSUREURS-VIE
      
    • D. L'EXPÉRIENCE DANOISE : UN MODÈLE ORIGINAL COMPLÉMENTAIRE À LA RÉPARTITION
      
  • II. CONCLUSION
    
• LES FONCTIONS DE BASE DU SYSTÈME FINANCIER ET LES ZINZINS
  
  • I. LES FONCTIONS DE BASE DU SYSTÈME FINANCIER
    
    • A. FACILITER L'ÉCHANGE DE BIENS, DES SERVICES ET....D' ACTIFS
      
    • B. L'INVESTISSEMENT « INDIVISIBLE » ET LA DIFFUSION DU RISQUE
      
    • C. LE TRANSFERT DES RESSOURCES ÉCONOMIQUES AU SENS INTER-TEMPOREL, SECTORIEL OU GÉOGRAPHIQUE
      
    • D. CONTRÔLER LE RISQUE ET L'INCERTITUDE
      
    • E. L'INFORMATION SUR LES PRIX DANS DES ÉCONOMIES DÉCENTRALISÉES
      
    • F. UN POUVOIR FORT POUR FAIRE FACE AUX PROBLÈMES D'INCITATIONS LIÉS À L'ASYMÉTRIE D'INFORMATION QUI EST AU CoeUR DE LA RELATION FINANCIÈRE
      
  • II. LE RÔLE D'INTERMÉDIAIRE ET L'ÉVOLUTION DU SYSTÈME FINANCIER
    
  • III. LE RÔLE FIDUCIAIRE AU SENS DE CONTRAT AVEC L'ÉPARGNANT
    
  • IV. DES APPORTS THÉORIQUEMENT FAVORABLES DES INVESTISSEURS INSTITUTIONNELS
    
• 1 FORMES D'ADAPTATION DU SYSTÈME FINANCIER ET RISQUES FINANCIERS ET MACRO-ÉCONOMIQUES ASSOCIÉS
  
  • V. IMPLICATIONS POUR LE FINANCEMENT DE L'ÉCONOMIE EUROPÉENNE
    
    • A. LE FINANCEMENT EXTERNE DES ENTREPRISES NON FINANCIÈRES
      
    • B. LES COMPORTEMENTS FINANCIERS DES MÉNAGES
      
    • C. EFFETS SUR LE SYSTÈME FINANCIER LUI MÊME
      
    • D. CONCLUSION
      
  • VI. QUELS SONT LES RISQUES DE LA NOUVELLE DONNE FINANCIÈRE ?
    
    • A. ... ET POUSSE À UNE PLUS GRANDE PRISE DE RISQUE QUE CELLE JUSTIFIÉE PAR LES ENGAGEMENTS
      
    • B. UNE MONTÉE DU RISQUE DANS LE PATRIMOINE FINANCIER DES MÉNAGES
      
    • C. LES COMPORTEMENTS MOUTONNIERS SONT RATIONNELS ET, VU LA CONCENTRATION DES CAPITAUX, DÉSTABILISANTS
      
    • D. LE RACCOURCISSEMENT DES HORIZONS DE PLACEMENTS INFLUENCE NÉGATIVEMENT LA GOUVERNANCE D'ENTREPRISE ET L'ALLOCATION DES CAPITAUX
      
• LES ZINZINS AU CoeUR DES CRISES FINANCIÈRES MODERNES ?
  
  • A. LES CRISES FINANCIÈRES : UNE TYPOLOGIE
    
  • B. FACTEURS DE FRAGILITÉ DU SYSTÈME FINANCIER, CHOCS ET DIFFUSION DES CRISES
    
• 2 INTRODUCTION :
  UNE ANALYSE DES SPÉCIFICITÉS NATIONALES
  
  • II. FRANCE
    
  • III. ALLEMAGNE
    
  • IV. ESPAGNE
    
  • V. ROYAUME UNI
    
  • VI. ITALIE
    
  • VII. ETATS-UNIS
    
• LE MARCHÉ RETRAITE AUX ETATS-UNIS : GESTION ET RISQUE DANS LA RETRAITE PAR CAPITALISATION
  
  • I. LE MARCHÉ RETRAITE AU TOTAL
    
  • II. LES FONDS D'INVESTISSEMENT DANS LE MARCHÉ RETRAITE
    
    • A. LES OPCVM COMME GESTIONNAIRES DES IRA ET PLANS CD
      
    • B. LES OPCVM DANS LE MARCHÉ TOTAL DE LA RETRAITE
      
• ANNEXE N° 5 :
  
  
  
  
  ETUDE DU BIPE, « LA MONTEE EN PUISSANCE DES INVESTISSEURS INSTITUTIONNELS : IMPLICATIONS RÉGLEMENTAIRES », PAR C. BLESSON ET U. CLERWALL
  
• RÉSUMÉ-CONCLUSION
  
  • CONTEXTE, MÉTHODE ET OBJECTIFS
    
  • RÉSUMÉ DE L'ÉTUDE
    
  • QUELLES RÉGULATIONS POUR LE CAS FRANÇAIS ?
    
• Ø LA MONTÉE EN PUISSANCE DES ZINZINS
  
  • O L'EXEMPLE DES OPCVM :
    UN DÉCOLLAGE IMPRESSIONNANT EN EUROPE
    
  • O LES RAISONS PRINCIPALES DE LA MONTÉE DES ZINZINS
    
• Ø QUI SONT LES ZINZINS ?
  UNE TYPOLOGIE DES ACTEURS
  
  • O LES ZINZINS SELON LA DIVERSITÉ DES STRATÉGIES DE PLACEMENTS ET LA RÉPARTITION DU RISQUE
    
    • § LES ORGANISMES DE PLACEMENT COLLECTIF EN VALEURS MOBILIÈRES - OPCVM
      
    • § LES FONDS DE PENSION À COTISATIONS DÉFINIES OU À PRESTATIONS DÉFINIES
      
      • • Distribution des risques entre le fonds de pension et l'épargnant : fonds à prestations définies et fonds à cotisations définies
        
    • § LES COMPAGNIES D'ASSURANCE ET PARTICULIÈREMENT LES ASSUREURS-VIE
      
    • § L'EXPÉRIENCE DANOISE : UN MODÈLE ORIGINAL COMPLÉMENTAIRE À LA RÉPARTITION
      
  • O CONCLUSION
    
• Ø LES FONCTIONS DE BASE DU SYSTÈME FINANCIER ET LES ZINZINS
  
  • O LES FONCTIONS DE BASE DU SYSTÈME FINANCIER
    
    • § FACILITER L'ÉCHANGE DE BIENS, SERVICES ET....D' ACTIFS
      
    • § L'INVESTISSEMENT « INDIVISIBLE » ET LA DIFFUSION DU RISQUE
      
    • § LE TRANSFERT DES RESSOURCES ÉCONOMIQUES AU SENS INTER-TEMPOREL, SECTORIEL OU GÉOGRAPHIQUE
      
    • § CONTRÔLER LE RISQUE ET L'INCERTITUDE
      
    • § L'INFORMATION SUR LES PRIX DANS DES ÉCONOMIES DÉCENTRALISÉES
      
    • § UN POUVOIR FORT POUR FAIRE FACE AUX PROBLÈMES D'INCITATIONS LIÉS À L'ASYMÉTRIE D'INFORMATION QUI EST AU CoeUR DE LA RELATION FINANCIÈRE
      
  • O LE RÔLE D'INTERMÉDIAIRE ET L'ÉVOLUTION DU SYSTÈME FINANCIER
    
  • O LE RÔLE FIDUCIAIRE AU SENS DE CONTRAT AVEC L'ÉPARGNANT
    
  • O DES APPORTS THÉORIQUEMENT FAVORABLES DES INVESTISSEURS INSTITUTIONNELS
    
• FORMES D'ADAPTATION DU SYSTÈME FINANCIER ET RISQUES FINANCIERS ET MACRO-ÉCONOMIQUES ASSOCIÉS
  
  • O IMPLICATIONS POUR LE FINANCEMENT DE L'ÉCONOMIE EUROPÉENNE
    
    • § LE FINANCEMENT EXTERNE DES ENTREPRISES NON FINANCIÈRES
      
    • § LES COMPORTEMENTS FINANCIERS DES MÉNAGES
      
    • § EFFETS SUR LE SYSTÈME FINANCIER LUI MÊME
      
    • § CONCLUSION
      
  • O QUELS SONT LES RISQUES DE LA NOUVELLE DONNE FINANCIÈRE ?
    
    • § DES HORIZONS DE PLACEMENTS COURTS...
      
    • § ... ET POUSSE À UNE PLUS GRANDE PRISE DE RISQUE QUE CELLE JUSTIFIÉE PAR LES ENGAGEMENTS
      
    • § UNE MONTÉE DU RISQUE DANS LE PATRIMOINE FINANCIER DES MÉNAGES
      
    • § LES COMPORTEMENTS MOUTONNIERS SONT RATIONNELS ET, VU LA CONCENTRATION DES CAPITAUX, DÉSTABILISANTS
      
    • § LE RACCOURCISSEMENT DES HORIZONS DE PLACEMENTS INFLUENCE NÉGATIVEMENT LA GOUVERNANCE D'ENTREPRISE ET L'ALLOCATION DES CAPITAUX
      
• Ø LES ZINZINS AU CoeUR DES CRISES FINANCIÈRES MODERNES ?
  
  • § LES CRISES FINANCIÈRES : UNE TYPOLOGIE
    
  • § FACTEURS DE FRAGILITÉ DU SYSTÈME FINANCIER, CHOCS ET DIFFUSION DES CRISES
    
• INTRODUCTION :
  UNE ANALYSE DES SPÉCIFICITÉS NATIONALES
  
  • FRANCE
    
  • O ALLEMAGNE
    
  • O ESPAGNE
    
    • UN POINT SUR LES FONDS À TAUX GARANTI
      
  • O ROYAUME-UNI
    
  • O ITALIE
    
  • O ETATS-UNIS
    
    • L'INTERMÉDIATION INSTITUTIONNELLE - LA DÉTENTION NOMINALE ET RÉELLE D'ACTIONS ET FONDS MUTUELS DES MÉNAGES
      
• Ø LE MARCHÉ RETRAITE AUX ETATS-UNIS : GESTION ET RISQUE DANS LA RETRAITE PAR CAPITALISATION
  
  • O LE MARCHÉ RETRAITE AU TOTAL
    
  • O LES FONDS D'INVESTISSEMENT DANS LE MARCHÉ RETRAITE
    
    • § LES OPCVM COMME GESTIONNAIRES DES IRA ET PLANS CD
      
      • • Les comptes de retraite individuels - IRA
        
      • • Les plans CD
        
    • § LES OPCVM DANS LE MARCHÉ TOTAL DE LA RETRAITE
      
• ANNEXE 1 : PRODUCTEURS ET DISTRIBUTEURS SÉRIEUSEMENT PRIS À PARTIE DANS LE RAPPORT SANDLER
  
  • 1. COMPLEXITÉ, OPACITÉ
    
  • 2. SIMPLIFICATION, RÉGLEMENTATION
    
• ANNEXE 2 - L'INTRODUCTION BOURSIÈRE DE LYCOS EUROPE NV EN MARS 2000