APPLICATION DE LA LOI DE FINANCEMENT DE LA SÉCURITÉ SOCIALE
DESCOURS (Charles) ; MACHET (Jacques) ; VASSELLE (Alain)
RAPPORT D'INFORMATION 356 (1999-2000) - Commission des Affaires sociales
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Table des matières
- AVANT-PROPOS
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PREMIÈRE PARTIE
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L'EXÉCUTION DES LOIS DE FINANCEMENT-
I. UN CONSTAT : L'ÉQUILIBRE DES
COMPTES SOCIAUX DANS UN CONTEXTE DE FORTE CROISSANCE
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A. LE RÉGIME GÉNÉRAL EN
1999 : UN ÉQUILIBRE ATTEINT MALGRÉ LE DÉRAPAGE DES
DÉPENSES D'ASSURANCE MALADIE
- 1. Le dynamisme de l'emploi salarié en 1999 explique la bonne tenue des recettes
- 2. L'effet de l'accroissement des prélèvements supplémentaires décidés par les lois de financement de la sécurité sociale 1997 et 1998
- 3. Un contenu différent suivant les branches
- 4. Une progression des recettes endiguant le dérapage des dépenses
- B. LE COMPTE 2000 DU RÉGIME GÉNÉRAL : UN EXCÉDENT FACTICE
- C. LE SOLDE DES ADMINISTRATIONS SOCIALES : UN EXCÉDENT SANS GRANDE SIGNIFICATION
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A. LE RÉGIME GÉNÉRAL EN
1999 : UN ÉQUILIBRE ATTEINT MALGRÉ LE DÉRAPAGE DES
DÉPENSES D'ASSURANCE MALADIE
- II. UNE ENTORSE AUX PRINCIPES : L'ABSENCE DE COLLECTIF SOCIAL
- III. UNE INQUIÉTUDE : LES TRANSFERTS DE CHARGES AU DÉTRIMENT DE LA BRANCHE FAMILLE
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I. UN CONSTAT : L'ÉQUILIBRE DES
COMPTES SOCIAUX DANS UN CONTEXTE DE FORTE CROISSANCE
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DEUXIÈME PARTIE
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LES DIFFICULTÉS DE FONCTIONNEMENT
DES CAISSES D'ALLOCATIONS FAMILIALES -
Déplacements et auditions des rapporteurs
- I. UN CONSTAT PRÉOCCUPANT
- II. DES ORIGINES MULTIPLES
- III. LA CRÉATION DE 900 EMPLOIS : UNE SOLUTION DE FACILITÉ ?
- IV. DEUX PRIORITÉS : SIMPLIFIER LE DROIT, AGIR SUR L'ORGANISATION
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TROISIÈME PARTIE
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LA GESTION DES EXONÉRATIONS
DE COTISATIONS DE SÉCURITÉ SOCIALE -
Déplacements et auditions des
rapporteurs
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I. LA MULTIPLICATION DU NOMBRE DE
MÉCANISMES D'EXONÉRATION DE COTISATIONS DE SÉCURITÉ
SOCIALE : UN ENJEU CONSIDÉRABLE POUR LES FINANCES PUBLIQUES
- A. L'EXONÉRATION DE COTISATIONS DE SÉCURITÉ SOCIALE EST UN OUTIL SÉDUISANT, PERMETTANT UNE BAISSE IMMÉDIATE DES CHARGES PESANT SUR LES ENTREPRISES
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B. LE DÉVELOPPEMENT DES
MÉCANISMES D'EXONÉRATION S'EXPLIQUE PAR LA MULTIPLICATION DES
OBJECTIFS POURSUIVIS
- 1. Les différentes vagues des mécanismes d'exonération
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2. Une palette très large
- a) L'exonération de charges sociales poursuivant un objectif d'allégement du coût du travail
- b) L'exonération de charges sociales conditionnée à la réduction du temps de travail
- c) L'exonération " sectorisée " visant à prendre en compte les difficultés particulières de tel ou tel secteur
- d) L'exonération de charges sociales ciblée sur des publics particuliers poursuivant un objectif d'insertion sociale
- e) L'exonération de charges sociales " localisée ", poursuivant un objectif d'aménagement du territoire
- C. LES EXONÉRATIONS DE COTISATIONS DE SÉCURITÉ SOCIALE REPRÉSENTENT UNE " RECETTE " NON NÉGLIGEABLE POUR LA SÉCURITÉ SOCIALE
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II. LES EXONÉRATIONS DE COTISATIONS :
UNE GESTION COMPLEXE POUR LES URSSAF ET POUR LES ENTREPRISES
- A. LES MÉCANISMES D'EXONÉRATION SONT PARTICULIÈREMENT COMPLEXES
- B. LES EXONÉRATIONS DE COTISATIONS NÉCESSITENT UN SUIVI ET UN CONTRÔLE RIGOUREUX PAR LA BRANCHE DU RECOUVREMENT
- III. LE NOUVEAU MÉCANISME D'ALLÉGEMENT DE CHARGES LIÉ AUX TRENTE-CINQ HEURES : LE NOMBRE D'EMPLOIS CRÉÉS NE SERA JAMAIS CONNU
- IV. UN IMPÉRATIF : SIMPLIFIER LES EXONÉRATIONS DE COTISATIONS POUR UNE MEILLEURE GESTION
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I. LA MULTIPLICATION DU NOMBRE DE
MÉCANISMES D'EXONÉRATION DE COTISATIONS DE SÉCURITÉ
SOCIALE : UN ENJEU CONSIDÉRABLE POUR LES FINANCES PUBLIQUES
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QUATRIÈME PARTIE
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LA MISE EN PLACE DE LA
COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE -
Déplacements et auditions des
rapporteurs
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I. LES DEMANDES DE COUVERTURE MALADIE
UNIVERSELLE COMPLÉMENTAIRE : UNE MONTÉE EN CHARGE
RÉGULIÈRE MAIS LENTE DANS LES ORGANISMES DE BASE, UNE GRANDE
DÉCEPTION DANS LES ORGANISMES MUTUALISTES ET CHEZ LES ASSUREURS
- A. L'AMÉLIORATION DE LA COUVERTURE MALADIE COMPLÉMENTAIRE DES FRANÇAIS PROMISE PAR LA CMU NE CONCERNE PAS ENCORE, LOIN S'EN FAUT, LES 3 MILLIONS DE PERSONNES ANNONCÉES PAR LE GOUVERNEMENT
- B. POUR LES 3 MILLIONS D'ANCIENS BÉNÉFICIAIRES DE L'AIDE MÉDICALE, LA PROMESSE D'AMÉLIORATION DE LA COUVERTURE COMPLÉMENTAIRE EST PRÉCAIRE ET RÉVOCABLE
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II. LES MESURES RÉGLEMENTAIRES
D'APPLICATION DE LA LOI ONT INUTILEMENT AGGRAVÉ LA COMPLEXITÉ DU
DISPOSITIF, OCCASIONNANT AINSI ERREURS, PERTE DE TEMPS ET
INCOMPRÉHENSIONS
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A. BEAUCOUP DE COMPLEXITÉ INUTILE
- 1. Les agents des caisses ont dû apprendre deux méthodes de contrôle des ressources, une pour la CMU de base, une autre pour la CMU complémentaire
- 2. L'évaluation des ressources sur douze mois glissants, pour les seuls salariés, empêche toute automatisation des procédures de contrôle des ressources
- 3. Et il faut aussi compter avec les procédures dérogatoires
- 4. Les formulaires sont impossibles à remplir sans assistance, car peu clairs et parfois erronés ou incomplets
- B. CETTE COMPLEXITÉ EST SOURCE D'ERREURS, D'INCERTITUDES ET INCOMPRÉHENSIONS
-
A. BEAUCOUP DE COMPLEXITÉ INUTILE
- III. LES CONDITIONS D'APPLICATION DE LA CMU ONT AUSSI AGGRAVÉ SON CARACTÈRE " NON PARTENARIAL "
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I. LES DEMANDES DE COUVERTURE MALADIE
UNIVERSELLE COMPLÉMENTAIRE : UNE MONTÉE EN CHARGE
RÉGULIÈRE MAIS LENTE DANS LES ORGANISMES DE BASE, UNE GRANDE
DÉCEPTION DANS LES ORGANISMES MUTUALISTES ET CHEZ LES ASSUREURS
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TRAVAUX DE LA COMMISSION
- I. AUDITION DE MME NICOLE PRUD'HOMME, PRÉSIDENTE DE LA CAISSE NATIONALE D'ALLOCATIONS FAMILIALES (CNAF)
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II. COMMUNICATION DES
RAPPORTEURS
(DIFFICULTÉS DE FONCTIONNEMENT DES CAF) - III. AUDITION DE M. BERNARD CARON, PRÉSIDENT ET DE M. JEAN-LOUIS BUHL, DIRECTEUR DE L'AGENCE CENTRALE DES ORGANISMES DE SÉCURITÉ SOCIALE (ACOSS)
- IV. AUDITION DE MME CATHERINE BARBAROUX, DÉLÉGUÉE GÉNÉRALE À L'EMPLOI ET À LA FORMATION PROFESSIONNELLE
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V. COMMUNICATION DES RAPPORTEURS
(GESTION DES EXONÉRATIONS DE COTISATIONS SOCIALES) - VI. EXAMEN DU RAPPORT